- Mathilde Imberty Journaliste de Radio France à Lyon
J uste après les Irlandaises, ce sont les Françaises qui font le plus grand nombre d’enfants au sein de l’Union européenne… Partant de ce constat, la fermeture d’une maternité française sur cinq entre 2001 et 2010 en France peut constituer un joli sujet d’étonnement.

Pour des raisons économiques, en fait, les lieux d’accouchement s’insèrent désormais dans des structures médicales multi-spécialisées. Dans l’ouest, c’est le cas de la Maison de la naissance de Nantes. Après avoir quitté la commune voisine de Saint-Sébastien sur Loire, cette petite maternité est devenue l’une des unités du Pôle hospitalier Jules-Verne, un regroupement de cliniques locales.
Très peu présents dans notre pays, les établissements comparables à celui qu’abrite à Nantes la clinique Jules-Verne s’appuient sur l’autonomie d’une équipe de sages-femmes ; elles prêtent une attention particulière aux attentes des futures mères, assurent l’accompagnement des grossesses par un dialogue permanent, procèdent à des accouchements peu médicalisés. L’équipe d’Interception a décidé de suivre l’une de ces sages-femmes pendant vingt-quatre heures, soit le temps d’un service de jour puis d’un service de nuit.
Vingt-quatre heures dans la vie d’une sage-femme
Un reportage de Mathilde Imberty.
Prise de son : Phuong Maï Tran
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