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Ce 15 mars à Paris, l’Agence spatiale européenne (l’ESA) a décidé de sauver le programme Exomars, programme d’exploration approfondi de la planète Mars très menacé depuis l’automne dernier avec l’abandon pur et simple de la Nasa.
Une décision courageuse, tant sur le plan technique -il faut apprendre à se poser sur Mars pour que le robot mobile prévu pour 2018 puisse mener ses explorations-, que sur le plan financier. L’ESA s’est ainsi tournée vers la Russie, autre grande puissance spatiale. Et les pourparlers ont très vite abouti. La Russie fournira les deux fusées Proton nécessaires à deux lancements prévus pour 2018.
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