Lumineuses Nathalie Azoulai et Nadia Vadori-Gauthier

Un coquelicot qui a réussit à pousser dans un sol de pierres.
Un coquelicot qui a réussit à pousser dans un sol de pierres.  ©Getty - Julia Ermolaeva / EyeEm
Un coquelicot qui a réussit à pousser dans un sol de pierres. ©Getty - Julia Ermolaeva / EyeEm
Un coquelicot qui a réussit à pousser dans un sol de pierres. ©Getty - Julia Ermolaeva / EyeEm
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L'une retrace le portrait d’une famille qui a tout quitté pour venir vivre en France et l'autre, danse ...

Pour être plus précis, elle c'est Nadia Vadori-Gauthier, performeuse, chorégraphe, docteure en esthétique de l’université Paris 8. Après sept années de compagnie chorégraphique (auteure de 7 pièces), elle mène aujourd’hui les recherches du " Corps collectif", laboratoire artistique et groupe de performance questionnant les frontières entre l’art et la vie. "Danser, résister : une minute de danse par jour" aux Editions Textuel présente une sélection d'images issues des captures vidéo des courtes séances de danse qu'elle a effectuées chaque jour depuis l'attentat de Charlie Hebdo en janvier 2015, accompagnées de textes sur le thème de la danse comme acte de résistance, comme expérimentation quotidienne ou encore comme mode de relation entre les personnes. 

Nathalie Azoulai raconte dans son livre "Les spectateurs" aux Editions POL l'histoire d'une famille à travers les yeux d’un enfant dans la France des années 1960, qui après une conférence de presse du Général de Gaulle à la télévision comprend soudainement qu'on peut avoir à quitter son pays natal, sa langue, sa maison comme ses parents chassés de chez eux quelques années plus tôt. Bouleversé, il veut savoir comment ça s'est passé, quand et comment on décide de partir, ce qu'on emporte dans ses valises, ce qu'on laisse derrière soi. Mais à toutes ses questions, personne ne répond vraiment comme si on lui cachait quelque chose. 

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