À quoi sert la littérature ? L’écriture était-elle un remède à la perte et à la souffrance ? Le neuro-psychiatre Boris Cyrulnik publie “La nuit, j’écrirai des soleils” (Odile Jacob) ; il était l’invité de France Inter vendredi matin.
- Boris Cyrulnik Neuropsychiatre et ethnologue
"Nous avons constaté que parmi les créatifs, il y avait un nombre anormalement élevé d'orphelins", raconte Boris Cyrulnik, psychiatre, invité de France Inter vendredi matin. "Nous nous sommes demandés quel rapport il pouvait y avoir entre l'orphelinage et la créativité dans toutes ses formes. Parce que probablement, l'identité n'est plus contrainte. Comme disait Jean-Paul Sartre, 'n'ayant pas eu de père, j'avais toutes les libertés', donc c'est une nouvelle manière de poser le problème psychologique après un trauma" raconte-t-il.
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Le psychiatre estime que "c'est dans la souffrance" que l'on est contraints de faire un choix crucial : "Ou bien l'on reste mort, ou bien l'on se remet à vivre".
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