La ministre de la santé et des solidarités Agnès Buzyn est l'invitée de Léa Salamé.
- Agnès Buzyn Femme politique
Le dossier était déjà d'actualité avant l'été, il se poursuit en cette rentrée sociale : Agnès Buzyn s'apprête à faire des propositions "courant septembre" pour résoudre la crise des urgences. "Leur fréquentation augmente de 5% par an. Les solutions sont nombreuses, et différentes d'un territoire à l'autre" estime la ministre.
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Elle évoque aussi la mise en place d'un numéro d'urgence, sorte de 115 bis : "Nous travaillons sur un numéro de téléphone de régulation, comme au Danemark ou en Hollande."
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La ministre prépare aussi le plus gros dossier de sa rentrée : la présentation de la loi bioéthique.
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Dans la lignée des déclarations d'Emmanuel Macron en 2017, alors qu'il était candidat à la présidentielle, à l'égard des militants de la Manif Pour Tous "humiliés", selon lui, par certains propos du gouvernement de l'époque, Agnès Buzyn estime : "Une loi de bioéthique n'est pas une loi de rupture. Je respecte toutes les opinions".
Loi de réforme des retraites
"Il faut maintenant écrire la loi sur les retraites", poursuit la ministre qui précise : "Nous verrons quelle est la meilleure organisation qui doit être choisie". À propos de la consultation citoyenne prévue sur le sujet : "Cela correspond à l'acte II du quinquennat. Cette question là est sur la table : comment consulter les Français?"
"Il existe un âge d'équilibre du système, autour de 64 ans", explique-t-elle, "La question est de savoir si cela peut être un âge pivot (...) Ce n'est parce que le système est universel qu'il est unique".
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L'horizon des municipales
En attendant le printemps prochain, Agnès Buzyn ne se dit pas candidate aux prochaines municipales : "Pour l'instant, j'ai des lois à porter, comme la loi de bioéthique, je suis à fond sur les réformes de mon ministère." Sur la possible candidature de Cédric Villani à Paris : "Je comprend son envie, mais l'intérêt général, c'est qu'il y ait une candidature unique pour les municipales à Paris".
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