James Ellroy : "Ce roman, c’est mon adieu fictionnel à ma mère"

James Ellroy
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James Ellroy ©Radio France - Anne Audigier
James Ellroy ©Radio France - Anne Audigier
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L'écrivain James Ellroy était l'invité du Grand Entretien pour la sortie de son nouveau livre «La tempête qui vient» (ed. Rivages Noir)

James Ellroy est l’invité du Grand entretien pour la sortie du livre « La tempête qui vient ». 

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Son nouveau roman se situe à l’époque de la seconde guerre mondiale. Dès le début de la seconde guerre mondiale l’écrivain explique l’auteur, on sait que l’alliance occidentale va gagner la guerre lorsque les Etats-Unis sont entrés dans le conflit. 

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Dans son roman les vrais policiers qui figurent dans son livre sont passionnés, libidineux mais ce ne sont pas des monstres. "Alors que les méchants sont mauvais. Il y a des bons dans ce livre", qui porte selon lui sur la complexité des alliances.

"Ce n’est pas moi qui aie créé la seconde guerre mondiale, moi j’écris sur ce sujet" assure l’auteur  que ce monde passionne.

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"Je n'ai jamais aimé Orson Welles. Citizen Kane, je n'ai pas aimé, c'est chiant ! Je ne l'ai jamais aimé en tant qu'acteur. Mauvaises vibrations », lance l’écrivain. 

Un auditeur l'interroge sur le "Dahlia noir" pour savoir si c'est une façon d’exorciser la mort de sa mère : "Je n'écris pas pour exorciser quoi que ce soit. Elle est la base du personnage de Joan Conville dans ce dernier roman, c'est mon adieu fictionnel", répond James Ellroy.

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A Propos du prix Nobel de littérature, l'auteur américain explique : "Je le veux, je l'attends ! (...) Mais ces connards de Suédois l'ont déjà donné à Bob Dylan, ce petit mec aux cheveux gras. Ils auraient dû le donner à Philip Roth. Comme ils l'ont raté, ça doit me revenir !"

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