Jasmine, élève en filière professionnelle : "Pour mes parents, le bac pro était un sous-bac"

Une matinale spéciale consacrée à l'enseignement professionnel en France
Une matinale spéciale consacrée à l'enseignement professionnel en France  ©Getty - thelinke
Une matinale spéciale consacrée à l'enseignement professionnel en France ©Getty - thelinke
Une matinale spéciale consacrée à l'enseignement professionnel en France ©Getty - thelinke
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Matinale spéciale du 7/9 de France Inter en direct du lycée Jean Lurçat de Perpignan, sur le thème de l’enseignement professionnel.

Avec les invités de la maatinale de France Inter sur le sujet de l'enseignement professionnel :

  • Cédric Bonnet, professeur d'économie-gestion au lycée Jean Lurçat, qui accueille ce matin l'équipe du 5/7 de France Inter
  • Robin et Jasmine, élèves de bac pro à Jean Lurçat
  • Nathalie Mons, Présidente du CNESCO (Conseil national d'évaluation du système scolaire)
  • Armande Le Pellec Muller, recteur de l'académie de Montpellier

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VOIR AUSSI | Le zoom de la rédaction : Les filières professionnelles sont-elles toujours des "voies de garage"?

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Nathalie Mons, Présidente du CNESCO (Conseil national d'évaluation du système scolaire) dresse le premier constat : " 7 mois après l'obtention de leur diplôme, 60% de jeunes avec un CAP ou 40% des jeunes avec un bac pro se retrouvent au chômage"

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En France, muni d'un bac général ou d'un bac pro, on a le même niveau d'insertion

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Une filière mal aimée

Cédric Bonnet, professeur d'économie-gestion au lycée Jean Lurçat : "Le secteur tertiaire est en difficulté après un bac pro. Le profil le plus recherché par les employeurs est un bac + 2".

Témoignage éloquent de Jasmine, élèves de bac pro à Jean Lurçat : "Pour mes parents, le bac pro était un sous-bac. pourtant ça m'a aidé. En seconde, tout allait beaucoup mieux".

Je ne fais pas confiance aux conseillers d'orientation. En 3e il m'avait dit qu'il fallait viser plus haut que le bac pro

Cédric Bonnet, professeur d'économie-gestion au lycée Jean Lurçat : "On essaie de travailler contre ça". Mais c'est "une situation malheureusement assez commune" explique Nathalie Mons, du CNESCO .

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