Nicolas Dupont-Aignan : "Aucune raison de laisser la France coincée entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen"

Nicolas Dupont-Aignan au meeting de l'Assemblée des départements français, Paris - 8 mars 2017
Nicolas Dupont-Aignan au meeting de l'Assemblée des départements français, Paris - 8 mars 2017 ©AFP - Eric Feferberg
Nicolas Dupont-Aignan au meeting de l'Assemblée des départements français, Paris - 8 mars 2017 ©AFP - Eric Feferberg
Nicolas Dupont-Aignan au meeting de l'Assemblée des départements français, Paris - 8 mars 2017 ©AFP - Eric Feferberg
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Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France! et candidat à la présidentielle est l'invité de Patrick Cohen.

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Nicolas Dupont-Aignan se réjouit d'avoir obtenu les 500 parrainages nécessaires à sa campagne, "Je suis le 4e à les avoir, ex-aequo d'ailleurs avec messieurs Hamon et Macron, avant Mme Le Pen et Mr Mélenchon".

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Un patriotisme de bon sens, humaniste, gaulliste, commence à prendre

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Il n'y a aucune raison de laisser la France coincée entre Emmanuel Macron, réincarnation de Monsieur Hollande et qui fera la même politique mais en pire, et Madame Le Pen de l'autre côté : ce piège politique qu'on nous rend comme évident, il n'y a aucune fatalité à le subir.

Il y a eu 20 millions d'abstention aux régionales : les Français attendent une autre offre politique (...) et je vais leur apporter

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"Je ferais ce grand ménage et cette reprise en main du destin de la France comme un gaulliste, avec un esprit de rassemblement, un projet mesuré, mais qui passe par l'essentiel : une nation c'est comme un individu, s'il n'est pas libre, il ne peut pas réussir".

Pour reprendre notre destin en main, il y aura trois candidats : madame Le Pen avec ses excès, monsieur Mélenchon avec ses excès aussi, et votre serviteur, avec un programme plus mesuré, plus sérieux, plus crédible

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"J'ai lu les programmes de mes adversaires : (...) ce sont les petits soldats [de Mme Merkel] (...) La solution pour la France de se développer, c'est d'avoir des barrières, des filtres. C'est inacceptable qu'il y ait 500.000 travailleurs détachés dans notre pays".

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Sur la GPA et le mariage homosexuel

"J'avais donné une interview à Têtu en 2007, depuis je n'ai jamais changé d'avis sur cette question : j'ai toujours été pour l'union civile car j'estime que deux personnes qui s'aiment, quelle que soit leur sexualité, on droit à une union solennelle. Et j'ai toujours été hostile à la filiation, car j'estime que chaque enfant a droit à un papa et une maman. Je ne reviendrais pas sur le mariage homosexuel, je ne veux pas raviver des plaies. Ce que je n'avais pas aimé chez Nicolas Sarkozy à l'époque, c'est que, devant une Assemblée, il change de position".

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