L'histoire du réveillon

France Inter
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L'histoire du réveillon - La drôle d'humeur d'Alexis le Rossignol
L'histoire du réveillon - La drôle d'humeur d'Alexis le Rossignol
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Le soir du réveillon, Alexis le Rossignol n'était pas très serein parce qu'il a fait une bamboche à sept. Il nous raconte tout ça.

Bonjours à tous, et bonne année ! Ça va ? Le réveillon tout ça, ça s’est bien passé ? 

Moi c’était moyen, trop de cris, trop de joie... Les gens euphoriques me font peur à moi. C’est pour ça que je parle qu’à Tanguy avant les émissions.

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Bref, nous on était 7 adultes le soir du réveillon, donc on n'était pas très sereins. Surtout moi, du fait que je ne connaissais personne - bon je déconne, j’en connaissais deux. Enfin un en plus de moi.

Pendant ce temps-là en Bretagne ils étaient 2500, ça avait l’air de bien se passer. Ça c’est la France qu’on aime, la France rebelle, la France qui résiste, les teufeurs c’est des gaullistes en fait.

Moi je pense que comme punition on aurait dû tous les vacciner ! T’as bien dansé ? Bah paye ton cul maintenant… Allez...  En plus les effets secondaires ils connaissent ça va… Wow! J’peux avoir la deuxième dose tout de suite ?

En plus si on avait fait ça, on en serait pas à 2000 vaccinés mais à 4500, et 4500 vaccinés c’est... Non si c’est pareil, c’est nul…  

En tous cas bravo aux organisateurs de cette fête, réunir 2500 personnes illégalement en temps de Covid faut le faire, faut leur confier des missions à ces gens-là, je sais pas, l’opération Barkhane, ou justement la campagne de vaccination, on peut pas avoir des gens aussi bons en logistique et pas en profiter.

Pour en revenir au réveillon, dans notre bamboche à sept là, on craignait un contrôle inopiné, et donc on s’était préparé, la technique c’est qu’on avait tout pris par six : six bouteilles de rouge, six bouteilles de blanc, six bouteilles de crémant - parce qu’il vaut mieux un bon crémant qu’un mauvais champagne... comme on dit quand on n'a pas d’argent pour boire du champagne - et on avait six bouteilles de cassis aussi, pour faire du kir, j’avoue que ça faisait des kirs un peu sucrés. 

Moi, j’étais en charge des huîtres, j’ai pris six douzaines aussi, au cas où ils avaient compté les coquilles - sauf que la marchande elle m’en avait mis quatorze à la douzaine, deux fois six ça faisait douze huîtres en trop, sept douzaines j’avais au final.

J’ai rien dit aux autres mais j’étais pas bien.

Pour accompagner les huîtres, en entrée, on avait des Curly et des Monster Munch. 

Quand tu dis aux gens "emmenez ce que vous voulez", T’en as toujours qui s’en tirent pour trois euros. Y en a tu dis : « réveillon" ils entendent : ''pique-nique''. 

La suite à écouter et à retrouver en vidéo !

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