

Fanny nous raconte son week-end en festival...
Ce week-end, j’ai zinziné. Moi je suis no limit, comme la Star Ac 4. Dimanche, je suis allée à un festival électro. Super. Sauf qu’en fait, je n’aime plus les festivals et je n’ai jamais aimé l’électro.
Et pourtant, c’était super. Parce que ça m’a fait réaliser à quel point je ne profitais pas assez des moments où je n’étais pas à un festival électro. On n’y pense pas assez. Vous entendez là ? Ce silence… Chérissez-le. Ne le prenez jamais pour acquis.
C’est comme quand t’es malade et que tu te dis « mais pourquoi j’ai pas plus profité du moment où je l’étais pas ? ». Et tu repenses avec nostalgie à tous les moments passés avec tes deux narines.
Mais donc pourquoi aller à un festival électro si je n’aime pas ça ? Ben pour une fille, évidemment. Pour suivre une fille. Enfin, pas « suivre »… Elle savait que j’étais là. J’étais pas dans la foule avec mes jumelles (déjà parce que j’en connais pas). En train de la suivre à la trace en préparant un mauvais coup. Non, évidemment. Pourquoi préparer un mauvais coup quand on peut juste en être un.
Mais donc évidemment que c’était pour une fille. Je suis faible. Dès qu’une meuf me dit « hey, est-ce que tu veux... » OUI. OUI. Elle m’aurait proposé un city trip en Afghanistan, j’aurais dit « Aaaah j’ai besoin de soleil ». Prends mes miles.
Vous vous rappelez quand nos mères nous disaient « et si ton ami il saute d’un pont, tu le fais aussi ? ». Si c’est une meuf, oui. Tant qu’au final, y’a pas que le pont qui se fait sauter…
Je fais n’importe quoi pour des meufs. Quand j’avais 15 ans : j’aimais bien une meuf et elle était bilingue, donc pour l’impression j’ai appris l’anglais. D’un côté, c’est stylé. Mais de l’autre, heureusement que son hobby c’était les langues germaniques et pas les drogues dures. Sur le CV c’est moins stylé. Vous parlez anglais ? Yes sure. Crystal Meth.
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