Des vacances demi-molles

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Les vacances les plus demi-molles de ma vie - La Drôle D'Humeur De Guillermo Guiz
Les vacances les plus demi-molles de ma vie - La Drôle D'Humeur De Guillermo Guiz
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Guillermo n'a pas passé les vacances les plus passionnantes de sa vie...

Ça va les amigos ?

Ça fait plaisir d’être à nouveau en studio. J’avoue qu’au début de l’été, je stressais un peu de revenir, à cause du Covid, mais là il paraît qu’à Paris la situation sanitaire s’est nettement améliorée, donc ça va, je suis rassuré.

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En plus ce n’est pas comme si le virus se transmettait plus facilement en intérieur. Franchement, zéro stress, j’ai pris ma tension, je suis qu’à 41, quand j’ai demandé à notre rédac’chef si on devait respecter un protocole d’hygiène, il m’a répondu : « Qu’est-ce que tu entends exactement par hygiène ? », donc zéro stress.

Après, faut pas tomber dans la psychose non plus, sans vouloir minimiser le danger du Covid, moi ça fait quatre ans que je fréquente les toilettes de Radio France, AKA le ptit Calcuta. Chez les dames, ils ont trouvé neuf souches différentes de lèpre, je le dis pour Morgane, qui vient d’arriver dans l’émission, un conseil : passer aux toilettes juste après Leila, pourquoi pas ?

Mais si derrière t’as les doigts qui se nécrosent, faudra pas dire « je me suis pas méfiée ».

A propos de maladies dégueulasses, tiens, ah bah je vais vous raconter mes vacances : atroces…  envie de crever dans une défaite du PSG.

Chaque soir, c’était pareil, une bouteille de pinard, puis deux, tu te chauffes un peu, à 1h30 tu sens que ça va décoller, et là à 2h tout ferme et tu rentres chez ta mère, c’était les vacances les plus demi-molles de ma vie, et Dieu sait que je m’y connais, en vacances ! Ah ah, on l’avait tous vu arriver cette vanne, vous savez pourquoi ? Parce que je suis rouillé par l’ennui… Allez, vous me connaissez, d’habitude fin août quand je reviens sur Inter je suis triomphant, j’ai le slip plein de vermines mais j’ai 1000 anecdotes sur mon projet d’MST solidaires. Ici je vais vous raconter quoi ?

« Et là, je vous le donne en mille, la serveuse nous dit : je n’ai plus de tataki de thon », je réponds : « Barrez-le du panneau alors, sinon on se fait une joie ! »

Ah je me suis pas laissé faire ! 

Moi j’ai besoin de vivre pour écrire, là j’osais même pas aller dans les afters en appartement, par peur du Covid, je suis à risque moi, j’ai pas de comorbidité, mais je connais Daniel Morin !