Ce matin, Guillermo a passé un cap… il raconte
Ca va les amigos, ça y est, je suis propriétaire
J’hésitais à en parler dans l’émission, forcément, je veux dire on connaît tous Morgane et son rapport à l’argent… Je me suis dit : « Si par malheur elle apprend que je suis propriétaire, elle ne va plus me lâcher ». Et j’ai rien contre les meufs vénales, mercredi, je dîne chez Leila. Ouais, Leila je lui ai dit : « Je ramène quelque chose », elle m’a dit : « 130 euros ». Je trouve que c’est beaucoup pour des spirelli, je veux dire même avec un bon pesto… Mais Morgane c’est pire, on est collègues, elle insiste pour qu’on ait un compte commun.
Enfin soit, c’est un cap, devenir propriétaire, je suis enthousiaste et en même temps j’ai la trouille, j’avais eu la même quand on m’a enlevé mon prépuce. J’ai pas osé le jeter, je l’ai gardé à la maison, dans un boîtier de DVD. Je sais que Nagui il a enterré le sien au Père Lachaise, à côté d’Hervé Cristiani, mais moi je l’ai gardé au cas où.
Mon prépuce, j’ai deux, trois notions de couture, je me suis dit : « Si je veux le remettre, c’est un point zigzag et une surpiqure. Je peux même ajouter un bouton-pression, comme ça si je veux plugger ma bomber… au cas où, au cas où ! »
Mais un appart, c’est le grand saut… Mon père était locataire, moi j’ai toujours été locataire, je suis un amoureux de la liberté, je me suis toujours dit : « Je veux pas d’attache, à tout moment, je quitte tout, je me barre à l’étranger ». Puis j’ai analysé ma vie, le plus loin où j’ai été c’est La Ciotat, j’ai le sens de l’aventure d’un abribus.
Ah ouais, moi y’a jamais personne qui m’a dit : « Tu me fais trop penser à Bernard Lavilliers ! », jamais personne. Je vis à Bruxelles, je mourrai à Bruxelles, le peu que je connais du monde, c’est grâce à Thalassa, et encore souvent le vendredi soir, souvent j’avais mini-foot.
La suite à écouter et à retrouver en vidéo !
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