Sarah Biasini, Emmanuel Guibert, Gabrielle Filteau-Chiba

La comédienne Sarah Biasini publie un livre touchant sur la  maternité. Elle raconte son histoire personnelle liée à sa maman, Romy  Schneider, disparue prématurément. Un récit qui explore le lien entre  une mère et sa fille : "La beauté du ciel" publié aux Editions Stock.

C’est le Grand Prix d’Angoulême 2020. Emmanuel Guibert est déjà sur  place pour une exposition, en marge du Festival de la Bande Dessinée d'Angoulême qui va décerner  prochainement le Prix 2021. Il publie un petit bijou graphique qui  imagine la rencontre entre un balayeur et un smartphone et vous allez  l’entendre le sujet va bien plus loin et nous concerne tous ! : "Le smartphone et le balayeur" publié aux Editions Les Arènes BD.

Nous irons aussi dans une forêt canadienne sous la neige avec la  québécoise Gabrielle Filteau-Chiba qui publie chez un éditeur Québécois  et un éditeur français. Elle porte un regard singulier sur la nature qui  va forcément vous ressourcer ! : « Encabanée » publié aux Editions Le Mot et le reste. 

Les coups de cœur et les coups de gueule des libraires : 

• Un coup de cœur de Katia Courteau, de la Librairie Le Port de Tête, à Montréal, au Canada, pour « Khiêm, Terres maternelles », une bande-dessinée de Yasmine Phan-Morissette et Djibril Morissette-Phan, publié aux Editions Glénat.
• Un hommage de Sophie Todescato, de la Librairie Les Temps Modernes, à Orléans, en France,  pour Vassilis Alexakis, décédé le 11 janvier dernier à Athènes.
• Un coup de cœur de Dominique Bressoud, de la Librairie Une petite prose, à Boudry, en Suisse, pour « Ecrits d'art brut : graphomanes extravagants », un beau-livre de Lucienne Peiry, publié aux Editions du Seuil.
• Un coup de gueule de Déborah Danblon, de la Librairie La Licorne, à Bruxelles, en Belgique : Pas de femmes dans les Prix en Belgique.

La programmation musicale : 

• Clou - Cesse cesse
• Gaëtan Roussel - Tu ne savais pas
• Fally Ipupa – Migrants des rêves