

Une introspection musicale, qui confirme le virage pris en 2011 avec son précédent album « Metals », étrange et beau.
Le dernier album de la chanteuse canadienne est sorti le 28 avril dernier.
Feist raconte :
Je l’ai appelé Pleasure comme si je plantais une graine qui allait augurer ce qu’il deviendrait. Telle une prophétie. L’expérience du plaisir peut être douce ou profonde, parfois rapide ou parfois progressive, mais elle est souvent une motivation. En gros ce disque lui permet d’aller explorer ses limites émotionnelles.
On retrouve dans ce disque les racines rock de Feist, et son sens de l'expérimentation, dans son processus d’enregistrement, elle a joué l’intégralité du disque dans trois endroits différents : en Californie, à Paris et du coté de New York, dans une ancienne église reconvertie en studio.
Il y a un souffle continu dans cet album, qui est celui de l’acoustique de l’église, un bruit qui lie les morceaux les uns aux autres, comme une histoire en mouvement. On retrouve à la production de ce disque le Canadien Mocky et Renaud Letang.
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