Le journal VSD appelle ça le « blues post élyséen ». Coup de blues de Carla Bruni depuis son retour de Marrakech, où elle est partie se reposer avec son mari après la défaite présidentielle. « L'ex première dame ne va pas très fort » écrit le journal. Elle se remet difficilement de cet échec électoral et peine aussi à renouer avec le milieu musical.
Sur le plan vestimentaire également, l'hebdomadaire estime qu'elle a adopté un style passe-muraille de noir ou de gris. VSD appelle ça le « style incognito dépressif », le baby blues s'est transformé en présidentiel blues.
Elle va mal, elle tourne en rond, raconte un proche du couple « et elle n'a plus qu'un seul sujet de conversation pour s'en prendre à tous ces journalistes qui ont fait perdre Nicolas ». Elle ne s'en remet pas.
Et pourtant, cette existence normale, elle en a rêvé. Privée de guitare ou presque durant 5 ans, elle aspirait à reprendre ses gammes, mais la vie d'artiste post-élyséenne n'est pas chose facile à mettre en musique.
Un album est prêt depuis longtemps. Il pourrait sortir à la rentrée, mais pour d'éventuels concerts, c'est plus délicat.
« Renouer avec son public », c'est là que le bât blesse car en devenant Madame Sarkozy, Carla Bruni s'est coupée d'une partie de ses fans.
Selon VSD qui cite une proche amie de la chanteuse, les scènes parisiennes hésitent à l'accueillir par crainte de ne pas remplir la salle. Elle se verrait bien à l'Olympia ou à Bercy, mais « inutile de rêver » écrit le journal. Personne ne se risquerait à l'y programmer.
Alors, Carla Bruni oscille entre tristesse et fureur. Elle aurait même prévu dans son prochain album de chanter contre les journalistes qui ont privé son mari de la victoire. Mais le mari en question l'en aurait dissuadée. En lisant l’article de VSD, c’est à se demander si Carla Bruni n’est pas devenue une chanteuse mal aimée.
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