De Fairuz à Yasmine Hamdan en passant par Ibrahim Maalouf, petit tour d'horizon de Beyrouth.
Une trompette dans les décombres... Deux mois après l’explosion qui a soufflé Beyrouth, Ibrahim Maalouf sera le directeur artistique de la soirée « Unis pour le Liban ».
Il vient tout juste de livrer une nouvelle interprétation de son titre-hommage à la capitale libanaise, qui donne une idée de la tonalité générale : entre espoir et urgence d’agir.
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Ce soir le musicien et compositeur libanais guidera de nombreux artistes français et internationaux venus exprimer leur solidarité et lancer des appels aux dons.
Car Beyrouth, comme la musique libanaise, incarne cette imbrication peuples et des époques. Un symbole qui touche le monde entier, et que je vais vous faire entendre ce matin.
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En 1983 l’immarcescible étoile Fairouz, chante son amour pour Beyrouth alors dévastée par la guerre civile. Récemment réédité, l'album « Maarifti Feek » où figure « Lî Beyrut » est à l’image de la ville : un véritable melting pot. Entre jazz, funk, arrangements traditionnels arabes, rythmes brésiliens et mélodies espagnoles.
Aujourd’hui les représentants de ce « grand mezze » musical sont des artistes comme la musicienne Yasmine Hamdan. Elle perpétue cette tradition de synthèse notamment dans son propre hymne à Beyrouth, sorti 20 ans après celui de Fairuz.
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Yasmine Hamdan mixe la pop et l’électro à une infinité de motifs orientaux. Elle chante en bédouin, anglais, libanais, koweïti, palestinien ou égyptien, et revendique une identité multiple. Ce qui est au fond la signature de la scène libanaise, au pays ou en exil.
Même sens de l’hybridation chez Bachar Mar Khalifé...
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Fils d’une légende libanaise, le grand joueur de Oud Marcel Khalifé, le pianiste et percussionniste Bachar Mar Khalifé sortira d'ici la fin du mois un nouvel album qui repoussera sans doute un peu plus loin les frontières des territoires et des musiques.
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