Paris et la petite couronne viennent de passer en zone d'alerte maximale. Est-ce que 15 jours seront suffisant pour enrayer cette mauvaise tendance ? A-t-on réagi trop tard ? Êtes-vous agacés par ces mesures ou pensez-vous qu'elles sont nécessaires ?
- Renaud Piarroux professeur à Sorbonne Université, praticien hospitalier à l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), chef de service à la Pitié Salpêtrière, spécialiste des épidémies.
- Jean-Paul Ortiz Médecin néphrologue
Fermeture des bars, des salles de sport, des piscines, des foires et salons, protocole sanitaire renforcé dans les restaurants, jauge dans les supermarchés, limite à 50% de présentiel dans les universités... Deux semaines après Aix-Marseille, Paris et sa petite couronne passent en zone d'alerte maximale. Des mesures qu'on sentait tous venir, alors pourquoi avoir attendu ?
Ces mesures seront-elles suffisantes pour enrayer la tendance croissante des contaminations ? Quelle est la stratégie du gouvernement ? Peut-on parler de "stop and go", de fermetures et réouvertures successives avec les loisirs comme variables d'ajustements ?
Qu'en est-il de la responsabilité individuelle ?
Avec nous pour en parler et pour répondre à vos questions, Renaud Piarroux, épidémiologiste, chef du service de parasitologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP) et Jean-Paul Ortiz, médecin généraliste, président de la Confédération des syndicats médicaux français.
Toutes vos questions et vos témoignages au standard de Radio France - 01 45 24 70 00 -, sur l'application France Inter et par e-mail à l'adresse telsonne@radiofrance.com.
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