

Ostéopathie, phytothérapie, huiles essentielles, homéopathie... En mars dernier, 124 professionnels de la santé signaient une tribune contre les "médecines alternatives".
- Yannick Schmitt Médecin, vice-président du syndicat ReAGJIR, Regroupement Autonome des Généralistes Jeunes Installés et Remplaçants.
- Bruno Falissard Psychiatre, professeur de santé publique à l'université Paris-Sud, directeur du CESP (centre de recherche en épidémiologie et santé des populations)
Il est des débats qui ne se dépassionnent jamais, et qui déclenchent les mêmes foudres à chaque fois qu'ils resurgissent.
Et ils resurgissent toujours.
Il est des débats où l'on ne parvient jamais à apaiser, faute de les réconcilier ceux qui sont pour et ceux qui sont contre. Un euro dans la machine et hop c'est reparti. L'Euro dans la machine ce weekend, c'est la faculté de Lille qui décide de ne plus enseigner l'homéopathie.
Énième épisode depuis une tribune de médecins dans le Figaro sur laquelle, ici même au Téléphone sonne, nous nous sommes cassés les dents l'an dernier.
Alors la question du jour, c'est pas tant, pour ou contre l'homéopathie, parce qu'on en sortira jamais. L'idée c'est plutôt que vous veniez nous raconter pourquoi vous préférez avoir recours à l' homéopathie, mais aussi, à toutes sortes de médecines alternatives. Est-ce qu'il y a un problème avec la médecine traditionnelle ? Est-ce qu'il y a un problème dès lors que l'on soigne les tracas du quotidien ? On ne parle pas de cancers ou d'ulcères ou qu'on ne cherche pas à vous enlever l’appendicite par les plantes.
Mais pourquoi une médecine plus douce, alternative, parallèle - le terme sera le vôtre - a un succès certain et croissant ?
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