L’entreprise ferroviaire publique tourne une page. Guillaume Pepy passe aujourd'hui la main à Jean-Pierre Farandou. Le nouveau dirigeant a donc les clés d’une SNCF perturbée ces derniers temps et bientôt transformée puisque l’entreprise doit accepter cette année l’ouverture à la concurrence. Quelle SNCF pour demain ?
- Anne-Marie Ghémard Vice-présidente de la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (FNAUT)
- Gilles Dansart Journaliste, rédacteur en chef du site Mobilettre et spécialiste du transport ferroviaire
- Fanny Arav Économiste, administratrice UNSA ferroviaire au conseil d’administration de SNCF Réseau
Guillaume Pepy passe aujourd'hui la main à Jean-Pierre Farandou.
Nouveau dirigeant, nouvelle ligne : la SNCF change de cap et indique qu’elle "n’irait pas devant le TGI [Tribunal de Grande Instance] pour faire reconnaître le 'caractère illégal' de la mobilisation d’octobre" où certains cheminots avaient utilisé leur droit de retrait.
C’est le secrétaire d’Etat chargé des transports qui l’a annoncé sur LCI. Jean-Baptiste Djebarri explique que c’est le "moment d’insuffler une nouvelle dynamique."
Une nouvelle dynamique alors que la SNCF s’enlise dans un conflit social qui n’est pas prêt de s’arrêter.
Les rails français s’ouvrent à la concurrence en décembre pour les TER et en 2020 pour les TGV.
Qu’attendre de cette nouveauté ? Quels sont les dossiers que Jean-Pierre Farandou a sur la table ? Qu’attend-on de ce nouveau souffle à la SNCF ? Et vous, qu’attendez-vous de la SNCF ?
Le standard est ouvert, toutes vos questions sont attendues au 01.45.24.70.00 ou sur telsonne@radiofrance.com
L'équipe
- Production
- Autre
- Autre
- Autre