Il ne faut pas nier qu’il y a, dans la vie, des plaisirs coupables. Je vais donc me confesser pendant quatre-vingts secondes ce matin et avouer le bonheur parfumé à l’eau de rose que j’ai pris à regarder la série Virgin River.
Elle s’appelle Melinda mais on la surnomme Mel. Elle est infirmière et a fui Los Angeles après un drame personnel. Lui, c’est Jack. Ancien militaire, il est désormais patron du restaurant de la petite bourgade de Virgin River, en Californie. Il est célibataire, parfois sombre, bricoleur, bref : terriblement sexy.
Entre Mel et Jack, Cupidon est en embuscade. Mais parviendra-t-il à décocher ses flèches, dans une ville où tout le monde se connaît et cancane ?
Publicité
C’est le cœur déchiré qu’on attend la réponse, sous l’œil bienveillant de ce bon vieux médecin de campagne, Doc Vernon, qui soigne autant les corps que les âmes. Je m’arrête là, la gorge nouée, avant de verser une larmichette.
Vous l’aurez compris : caramel, sucre glace, barbe à papa, ce n’est pas une série mais une bonbonnière aux tons pastel
Si vous la regardez, vous vérolerez votre algorithme pour l’éternité, il ne faudra pas vous plaindre des monstruosités qu’il vous proposera par la suite. J’ai promis d’être transparent donc je le suis jusqu’au bout : j’attends la saison 3 avec impatience.
Virgin river est à voir sur Netflix.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
L'équipe
- Production