Quand les casseroles ont du talent : Tin Pan Alley

France Inter
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Après la guerre de sécession, une nouvelle classe moyenne apparaît aux États Unis : c’est la période dite « de reconstruction ».

À Paris c'est le grand triomphe d'Offenbach, et plus que l’opéra Italien, le public américain adore les histoires de femmes légères, d’amants, de placards, de frou frou et de falbalas.

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Mais peu à peu, ce genre européen va finir par les lasser. Ils veulent du neuf, du sur mesure, des histoires qui résonnent pour eux. Il est temps qu'ils prennent leur Show Bizness en main.

The black crook est la première tentative d’opérette américaine qui trouve son public.

L’auteur, un certain Charles Barras, a réussi à américaniser le mythe de Faust. C’était déjà Phantom of the paradise.

Il y a de la danse, du chant, une intrigue archétypale, ne pas oublier qu'encore aujourd'hui derrière chaque block boster américain se cache un bon vieux mythe grec.,

Du chant de la danse une super histoire mythologique… et du cul.

Tin pan alley
Tin pan alley
©

Vincent Delerme, Fanny Ardant et moi

Album Vincent Delerme, Tôt ou tard, 2002.

eorge Benson, On Broadway Screen Gems, EMI, 1976G

Dutronc, Merde in France Merde in France" dont le seul titre fait couler beaucoup d'encre. Gaumont Musique, 1984

Jean-Philippe Rameau : Danses des sauvages extrait de Les Indes galantes les musiciens du Louvre sous la direction de Marc Minkowski

Archiv, 2005

Michel Polnareff Love me please love me de

disc’AZ, 1966

Joan Baez Plaisir d’amour

Album : Farewell angelina, Accord, 1983

Gene Kelly I got rythm

Un Américain à Paris (An American in Paris ), 1951

Joao Gilberto_’S wonderful_

Album: Amoroso Warner Bross Records, 1977

Nat King Cole : Love is here to stay

Capital Records, 1974. Ecrite par George Gerwhing

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