Vol record pour un oiseau migrateur

Barge à queue barrée marchant dans l'eau.
Barge à queue barrée marchant dans l'eau. ©Getty -  Yogesh Bhandarkar / 500px
Barge à queue barrée marchant dans l'eau. ©Getty - Yogesh Bhandarkar / 500px
Barge à queue barrée marchant dans l'eau. ©Getty - Yogesh Bhandarkar / 500px
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Il y a quelques semaines, un oiseau migrateur a rejoint la Nouvelle-Zélande depuis l’Alaska sans prendre une seule pause. Le vol a duré onze jours.

Quel était cet oiseau ? 

La barge rousse, un oiseau connu pour voler sur plusieurs milliers de kilomètres sans escale. Ces échassiers passent leurs étés dans les régions arctiques dans l’hémisphère nord, où ils se reproduisent, puis rejoignent l’Australie ou la Nouvelle-Zélande pour passer l’hiver. Mais on en trouve aussi sur nos côtes françaises.

Un groupe de conservation a suivi un mâle. L’oiseau a quitté le sud-ouest de l’Alaska le 16 septembre et s’est posé onze jours plus tard dans une baie près d’Auckland, en Nouvelle-Zélande. Cette barge rousse a  parcouru un peu plus de 12 200 km.

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Selon un chercheur, elle aurait atteint une vitesse maximale d’environ 89 km/h en vol, et n’a probablement pas dormi pendant son voyage.

Les barges rousses détiennent le record de la plus longue migration aérienne sans escales, Mais les sternes arctiques détiennent celui de la plus longue migration avec escale. 

Et voici une nouvelle piste pour repérer la vie sur une autre planète

Plus de 4000 planètes ont été détectées en dehors du système solaire. Mais pour le moment, aucune trace de vie.

Des chercheurs de l’Arizona proposent  une méthode de recherche étonnante. Selon eux, il faudrait s’intéresser aux arbres !

Aux arbres ? 

Des arbres, sur d’autres planètes, projetteraient des ombres à des angles solaires importants, capables d’être repérés

Ces chercheurs pensent que  la vie multicellulaire ayant le plus de chances d’être présente abondamment serait les organismes photosynthétiques verticaux. Des arbres donc.

Les prochains télescopes  ne seront probablement pas assez précis. Mais les futures versions  pourraient observer les planètes avec davantage de pixels. Et détecter donc les ombres des arbres. Qui sait ? À moins que l’ombre de nos arbres n’aient été détectées par d’autres…

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