

Cette semaine, on essaie de comprendre le "Covfefe" de Donald Trump, on se confesse auprès d'un robot curé et on sort ses béquilles pour un spectacle de danse contemporaine.
Covfefe, kézaco ?
C'est le mot de la semaine, sans aucun doute : Covfefe. On ne sait pas ce que cela signifie, mais c'est cela qui fait son charme : personne ne le sait, excepté un utilisateur de Twitter... Donald Trump. C'est lui qui a posté le tweet suivant :

En quelques minutes, le monde entier s'est demandé ce que pouvait bien dire ce "covfefe", avec de très nombreuses hypothèses : pour certains Donald Trump a fait un copier coller malencontreux du code nucléaire, pour d'autres c'est le résultat d'un abus d'alcool, et pour les plus taquins dont Hillary Clinton qui s'en est aussi amusée... c'est un message codé à l'attention des Russes.
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Toujours est-il que la maison Blanche n'a pas donné de véritable explication malgré une question en conférence de presse. Le plus probable évidemment c'est une faute d'orthographe dans le mot "coverage" (couverture) mais on aime bien laisser planer le doute. Là où cela pose problème d'un point de vue juridique c'est que le tweet a été supprimé depuis, or d'après une loi de 1978 le Président des Etats Unis ne peut pas faire entrave à l'archivage de ses propos.
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Un prêtre pas comme les autres ?
BlessU-2 est un robot-prêtre, présenté en Allemagne à l'occasion d'une exposition pour le 500e anniversaire de la réforme protestante. Il connait une quarantaine de versets de la Bible, et il est capable de donner des bénédictions dans sept langues.
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Bonus : quand le robot ouvre ses mains, de la lumière en sort. Il ne s'agit évidemment pas de remplacer un pasteur par un robot. En réalité la machine a été mise en place dans ce temple sur demande de son pasteur pour susciter le débat et "amener les gens à envisager la possibilité d'être bénis par une machine et sur la nécessité d'un être humain". Il faut dire que niveau allure, on peut mieux faire : c'est en fait un ancien distributeur de billets de banque qui a été recyclé en robot.
La vidéo de la semaine : le buzz "Body Remix" de retour sur Arte
C'est l'une des vidéos qui a longtemps été considérée comme l'une des plus étranges du web : on y voit des danseurs à moitié nus munis de béquilles et d'excroissances métalliques qui hurlent dans des micros qu'ils s'enfoncent littéralement dans la bouche, avec un point culminant : ce danseur au regard lubrique qui tape très fort sur un portique en métal avec une béquille fixée à la place de ses parties intimes.
Et cette vidéo était issue de la diffusion sur Arte d'un spectacle de la chorégraphe québecoise Marie Chouinard intitulé "Body Remix, les variations Goldberg" : pour fêter ses 25 ans la chaîne propose en replay ses programmes cultes... dont celui-ci. Un clin d'oeil assez sympathique à ce spectacle devenu célèbre malgré lui, à voir sur le site d'Arte jusqu'à la fin du week-end.
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