Avec Alexandre Viros, président d'Adecco France

Alexandre Viros, président d'Adecco France
Alexandre Viros, président d'Adecco France - The Adecco Group / Xavier Renauld
Alexandre Viros, président d'Adecco France - The Adecco Group / Xavier Renauld
Alexandre Viros, président d'Adecco France - The Adecco Group / Xavier Renauld
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Quelles perspectives pour l'emploi en 2021 ? Ce samedi, reportage sur les offres non pourvues et entretien avec Alexandre Viros, le président d'Adecco France. Et puis retour sur les annonces de la semaine. Campagne de vaccination, fermetures, couvre-feux... Ce qui nous attend et ce qu'il faudrait faire de plus.

Avec
  • Alexandre Viros Président d'Adecco France

L'entretien

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Après une année 2020 frappée de plein fouet par la pandémie et où le chômage s'est mis à augmenter de nouveau, quelles perspectives pour le marché de l'emploi en 2021 ? Que faut-il attendre pour ceux qui cherchent un travail ? Et pour ceux qui sont déjà engagés dans des contrats courts et précaires ?

Ce samedi, bilan de l'année passée et tentative d'y voir un peu plus clair sur celle qui s'ouvre avec Alexandre Viros. Il est depuis quelques mois le président du groupe d'intérim Adecco en France.

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Il répond ce samedi aux questions d'Alexandra Bensaid.

L'Édito éco
1 min

Le débat

Vaccination, fermetures, couvre-feux... Face aux obstacles, faut-il en faire davantage pour l'économie ?

2 min

Quantité de doses, craintes de pénurie, problèmes de logistique... La semaine a été marquée par les polémiques autour de la campagne de vaccination. Le gouvernement, accusé d'être trop lent dans le déploiement, assure accélérer la cadence en ouvrant notamment des centres de vaccination de ville et en autorisant, à partir de fin janvier, la vaccination à tous les plus de 75 ans.

Au même moment, d'autres mesures, pour tenter de freiner la propagation de l'épidémie, ont été annoncées le 7 janvier par le Premier ministre Jean Castex : maintien du couvre-feu à 20h jusqu'au 20 janvier, possible étendue du couvre-feu dès 18h à dix nouveaux départements, maintien des fermetures de tous les établissements culturels, sportifs et restaurants...

Quelles conséquences économiques à toutes ces décisions ? Et surtout, faut-il en faire davantage ? Laurent Bigorgne, directeur de l' Institut Montaigne et Christian Chavagneux, éditorialiste au magazine Alternatives Economiques, ouvrent le débat.

Le reportage

A en croire une étude de Pôle emploi et de la Dares (ministère du Travail) publiée en octobre 2020, une entreprise sur deux rencontre aujourd'hui des difficultés de recrutement. En jeu ? Des métiers en tension qui peinent à recruter : c'est particulièrement le cas dans le BTP et l’industrie.

Dans le top 10 des métiers en tension, figurent ainsi les ingénieurs, les cadres informatiques, les ingénieurs du bâtiment et des travaux publics, ainsi que des métiers plus confidentiels comme celui de dessinateur en électricité et en électronique, par exemple... Pour certains postes, les patrons se plaignent même de ne trouver aucun candidat !

Caroline Pomès s'est penchée sur ces secteurs aux offres non pourvues pour son reportage. Elle est notamment partie à Marnaz, en Haute-Savoie, dans une usine où sont fabriquées des petites pièces mécaniques indispensables pour l'automobile, l'aéronautique ou la santé.

Ça se passe là-bas

En Espagne aussi, le marché de l'emploi inquiète les observateurs pour 2021. Dans ce pays lui aussi dopé habituellement par le tourisme, pas de surprise : les derniers chiffres du chômage pour 2020 qui sont tombés cette semaine montrent clairement que le nombre de demandeurs d'emploi a explosé.

On en parle avec Marie-Hélène Ballestero, correspondante de France Inter en Espagne.

Ma vie au boulot

Martine dirige une petite agence de 15 personnes et elle s’inquiète de la décision du gouvernement d’accorder un arrêt de travail immédiat aux salariés qui présentent des symptômes ou qui sont cas contact. Doit-on redouter des abus ? demande-t-elle à Sandrine Foulon.