Quoi de neuf dans la comédie romantique, depuis les classiques hollywoodiens des années 40 ? En studio, Manu Payet et Antoine Sire nous font voyager d’une époque à l’autre.
- Eric Libiot Rédacteur en chef Culture à L'Express
- Manu Payet Comédien, humoriste, animateur de radio et de télévision
- Antoine Sire Auteur
Depuis qu’il a été Alex et Simon, dans Radiostars et Les infidèles, Manu Payet fait définitivement partie du paysage cinématographique français. Plus particulièrement celui de la comédie romantique française. Acteur, ou même désormais réalisateur, il est devenu l’incontournable meilleur pote, le copain indécis ou le papa débordé. L’amour c’est mieux à deux, Un peu, beaucoup, aveuglément, Tout pour être heureux,… : autant de comédies sentimentales qu’il compte à son actif.
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Antoine Sire, pour sa part, est spécialiste du cinéma hollywoodien. Il publie à l’automne un ouvrage sur les actrices qui ont construit le mythe hollywodien : Hollywood, la cité des femmes.
Avec ses deux invités, Guillemette Odicino fait le point sur les similitudes entre les comédies hollywoodiennes de l’entre-deux-guerres et celles d’aujourd’hui. Elles ne sont finalement pas si différentes…
- Le tube qui tache d'Antoine Sire : "Guarda come dondolo" de Eduardo Vianello
Le "tube qui tache" d'Antoine Sire : "Guarda come gondolo" d'Eduardo Vianello
2 min
Histoires d’elles
Portrait à deux voix de Katharine Hepburn, dont les performances ont été récompensées par quatre Oscars – un record !. La présence d’Antoine Sire est l’occasion d’un échange avec Guillemette Odicino autour de la carrière de « la plus grande actrice de légende du cinéma américain », selon les termes de l’American Film Institute.
Filmographie sélective
- Morning glory, de Lowell Sherman, 1933.
- Sylvia Scarlett, de George Cukor, 1935.
- Pension d'artistes, de Gregory La Cava, 1937.
- Indiscrétions, de George Cukor, 1940.
- La femme de l'année, de George Stevens, 1942.
- L'impossible Monsieur Bébé, de Howard Hawks, 1946.
- Madame porte la culotte, de George Cukor, 1949.
- African Queen, de John Huston, 1951.
- Soudain l'été dernier, de John L. Mankiewicz, 1959.
- Devine qui vient dîner, de Stanley Kramer, 1967.
- La maison du lac, de Mark Rydell, 1981.
Extrait audio
- Katharine Hepburn reçoit l'Oscar de la meilleure actrice en 1968, vidéo YouTube.
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Crédits générique : "Have some pride" de People Like You (Pschent).
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