Promotion canapé

Pour imaginer ce monde-là, il suffit d’ouvrir le journal puisque la disparition des femmes, c’est ce qui menace l’Ukraine depuis le début de l’invasion russe. 80% des personnes qui quittent le territoire sont des femmes et des enfants, de 5 à 8 millions de personnes qui pourraient ne jamais revenir.

L’IFOP a demandé leur avis aux Français et clairement, nos compatriotes n’en ont RIEN A TAPER de la beauté : 49% voudraient être riches, 46% voudraient être intelligents… et à peine 5% voudraient être irrésistiblement beaux, soit 1 personne sur 20 !

Si je pose la question, c’est qu’en France, toutes nos grandes étapes historiques sont accompagnées de grandes étapes érotiques, un roman national tellement légitime qu’on l’apprend à l’école, de l’amour courtois à la gaudriole rabelaisienne, du libertinage aux frustrations de madame Bovary…

Il fut un temps où le pénis était vraiment important : en avoir ou pas, ça définissait la trajectoire de vie. C’est dans ce monde-là que la psychanalyse a été inventé et j’imagine que c’est pour ça que la tarte à la crème de la psychanalyse, c’est l’envie du pénis - un concept tellement fourre-tout

Sommes nous tous des voyeurs ? Mais en réalité, qu'est ce que le voyeurisme ? Maïa répond à toutes nos questions.

Faut-il assumer toute notre mémoire érotique, faut-il occulter, ou même, nier comme une arracheuse de dents ? Je n’ai pas de réponse universelle, mais ce que je sais, c’est que la nature tabou de la sexualité n’aide pas à être en paix avec sa mémoire érotique.

Depuis quelques années, on a vu fleurir toute une littérature autour de cette question. Manifestement le pénis des canards et la parade amoureuse de bulots nous passionnent. Alors sommes-nous curieux ou voyeurs ? Parler de la sexualité animale, est-ce une manière de parler de nous-mêmes ?

Existe-t-il une formule de l’orgasme, une factorisation de l’amour… et si oui, à quoi ressemblent ces équations ? La question peut sembler un peu absurde, mais dans matelas il y a maths, et dans calcul, il y a “cul”...

Viols, endométriose, incestes, excision, violences gynécologiques, emprise, pédophilie, revenge porn, esclavage sexuel, LGBTphobie, ... Maïa nous remonte le moral et dresse une utopie vers laquelle tendre.

En sexualité, la quantité est-elle un gage de qualité ? Faut-il en avoir plus pour que le sexe soit “mieux” ? Pour beaucoup de personnes, en matière de sexualité, l’unique barème de la réussite, c’est (encore) le chiffre.

Le désir est-il compatible avec l’éco-anxiété ? Maïa nous livre ses lumières pour faire l’amour quand le monde menace de s’effondrer.

Il n'est pas rare d'associer cheveux et objets sexuels, mais aujourd'hui Maïa va nous en parler sans les aborder sous l'angle religieux ou mythologique, mais en les regardant à l'aune de notre quotidien.