Amis, si vous sentez parfois lever dans le fond de votre âme comme un vent chagrin, alors rejoignez-nous ! Ensemble, nous murmurerons des beautés infinies, nous apprendrons à rire, nous apprendrons à vivre ! Il a de ces matins blancs, de ces nuits mauves, de ces dentelles noires découpées sur des ardoises tranchantes ... Levant les yeux, elle s'écria comme à la guerre : "Tous les matins du monde sont sans retour !"
Danièle Cohn est philosophe et historienne de l'art
Danièle Cohn travaille à la croisée des chemins entre l'esthétique et la philosophie de l'art .
Elle a consacré une grande partie de ses recherches à mettre en évidence comment la culture allemande se déploie et donne des figures à ses idées, de l'oeuvre deGoethe à celle desgrands historiens de l'art du monde germanique , de la philosophie des Lumières à Walter Benjamin, de la peinture de Friedrich aux grands romans de Thomas Mann et Hermann Hesse .
Normalienne, agrégée de philosophie, Danièle Cohn est Professeur d'esthétique et de philosophie de l'art à l'Université Paris-1 Panthéon - Sorbonne dont elle dirige le Laboratoire de Culture, esthétique et philosophie de l'art.
Elle dirige la collection**"Aesthetica** " aux Éditions Rue d'Ulm, et est membre du comité de rédaction de la revue Critique .
Titulaire de lachaire Marc Bloch à Berlin (Université Humboldt) en 2008-2009, elle a été Scholar du Getty Research Institute (Los Angeles) et Professeur invité à l'Université Libre de Berlin ( FU) en 2009 et 2010.
Elle a été commissaire de l'exposition sur l'Allemagne, qui s'est tenu au musée du Louvre en 2013.
Les remèdes de Danièle Cohn
"Les rêveries du promeneur solitaire", Rousseau
"Unglourious basterds", Quentin Tarantino
"Ce n’est rien" , Julien Clerc,
"Résiste", France Gall,
Le début de "Dichterliebe" de Schumann : Im wunderschönen Monat Mai version Fritz Wunderlich
Le conseil de Nietzsche « apprenez à rire »
Prendre mon vélo dans la nuit et pédaler dans la ville
Marcher dans les Pyrénées à Lescun
Filer à santa Monica voir le sunset sur Topanga Park
« les optimistes ont fini à Auschwitz, les pessimistes à Hollywood », Billy Wilder
« Il y aura toujours dans mon oeil cependant
une invisible rose de regret
comme quand au-dessus d’un lac
a passé l’ombre d’un oiseau »
Poème de Philippe Jaccottet, recueil Airs ( 1961-1964)
Manger une glace en Italie à Mara dei Boschi à Turin
"Le mariage de la vierge", Raphael, 1504
"L’Enfer des oiseaux", Max Beckmann, 1938
Les collines provençales bleues de lavande, et la vue sur des tuiles romaines anciennesAller à l’opéra
Ecouter le clavier bien tempéré de Bach
La chose à éviter à tout prix
Entendre par surprise un fado
La beauté douce de Lisbonne et le bleu mauve des jacarandas.
La gourmandise fantôme d'Eva Bester
La Société anacréontique des Rosati.
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