On dit "Vous les femmes" alors que cette chanson s'intitule en fait "Pauvres Diables". Tandis que les paroles mettent en scène un homme en pâmoison, un petit être fragile face à la gente féminine,
les premières notes de ce morceau vous posent un bonhomme. Un début de chanson comme on ferait : Tadaaaaaaaaam !
Julio chez Drucker bien sûr...
A ces quelques notes tonitruantes et introductives succède par contraste une ritournelle aérienne.
Le machin qu’on sifflote sans s’en rendre compte les mains dans les poches.
Et ça, c’est la quintessence même de Julio : du bling bling et un soupçon de désinvolture.
Dans la suite de cette chronique, vous pourrez écouter aussi un Coréen du sud
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et un Belge : magnifique reprise de "Pauvres diables" par Arno avec John Parish à la production et à la guitare.
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