Au Kenya, l’homosexualité bientôt décriminalisée

Un réfugié LGBT originaire de la République démocratique du Congo porte un drapeau arc-en-ciel lors de leur manifestation pour exiger leur protection auprès du bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Nairobi, au Kenya.
Un réfugié LGBT originaire de la République démocratique du Congo porte un drapeau arc-en-ciel lors de leur manifestation pour exiger leur protection auprès du bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Nairobi, au Kenya. ©AFP - Yasuyoshi CHIBA
Un réfugié LGBT originaire de la République démocratique du Congo porte un drapeau arc-en-ciel lors de leur manifestation pour exiger leur protection auprès du bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Nairobi, au Kenya. ©AFP - Yasuyoshi CHIBA
Un réfugié LGBT originaire de la République démocratique du Congo porte un drapeau arc-en-ciel lors de leur manifestation pour exiger leur protection auprès du bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Nairobi, au Kenya. ©AFP - Yasuyoshi CHIBA
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Ce soir on part au Kenya où l’homosexualité va probablement être décriminalisée d’ici la fin de la semaine. Mais que dit l'Afrique sur ce sujet ? ; On ira en Irak à la rencontre d’adolescents condamnés pour terrorisme ; Et au Pérou, avec un aéroport au pied du Macchu Picchu

Avec
  • Boris Bertolt chercheur en criminologie à l’université de Canterbury au Royaume-Uni

Au Kenya, l’homosexualité bientôt décriminalisée

À la fin du mois, vendredi, il est possible que le Kenya entre dans ce club très fermé des pays africains qui décriminalisent l'homosexualité. En clair, le jugement doit porter sur la constitutionnalité de lois criminalisant l'homosexualité, des lois qui datent de l'époque coloniale. Aujourd’hui, 33 pays africains, sur 59, punissent les homosexuels, avec des peines qui vont de la prison à la peine de mort.

Avec Boris Bertolt, chercheur en criminologie à l’université de Canterbury au Royaume-Uni

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Sous les radars… Hélène Roussel nous emmène ce soir

Au Pérou, avec un aéroport en construction au pied du Macchu Picchu

Au Japon, où l’on va fermer les maisons closes d’Osaka le temps du G20

En Australie, avec des billets de banque imprimés avec une faute d’orthographe

L’escale reportage nous emmène ce soir en Irak

Dans le nord de l’Irak, l’ONG de défense des droits de l’homme Human Rights Watch accuse les autorités kurdes d’avoir jeté en prison des centaines d’adolescents. Ces enfants-soldats sont soupçonnés d’appartenance à l’État islamique et jugés coupable de terrorisme. Mais au regard du droit international, ils sont considérés comme victimes. Parmi eux, nombreux sont ceux qui disent avoir été condamnés à tort, après des aveux obtenus sous la torture. Incarcérés pour des peines relativement courtes, certains commencent désormais à sortir de prison.

Parmi eux,  certains restent coincés dans des camps malgré leur libération, sans perspective de retour chez leurs familles en Irak Fédérale : leur peine effectuée dans la province autonome du Kurdistan n’est pour l’instant pas reconnue par la justice de Bagdad.

Un reportage de Noé Pignède

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Vampire weekend – This life

Willy Deville – Hey Joe

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