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Comme en 2012, le premier déplacement à l'étranger du nouveau président se fait à Berlin. Qu'est ce qui a changé depuis cinq ans? Que ressortira-t-il de cette rencontre?
- Guy Verhofstadt Premier ministre belge (1999-2008), président du groupe des démocrates et des libéraux au Parlement européen
La visite à Berlin, en l’occurrence ces dernières années à Angela Merkel, est devenue un rituel diplomatique pour tout président de la République prenant ses fonctions. Emmanuel Macron n’y déroge pas, il est en ce moment même à Berlin. On s’en souvient : François Hollande, son prédécesseur, n’avait pu imposer une autre politique européenne, il était revenu bredouille d’Allemagne. Cinq ans, et un second tour de la présidentielle avec Marine Le Pen plus tard, Emmanuel Macron disposera-t-il d’une conjoncture plus favorable ? Nicolas Demorand en discute avec son invité, Guy Verhofstadt, président de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe (ADLE) au Parlement européen.
Et aussi,
David Philippot, correspondant en Allemagne, depuis Berlin.
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