Syrie : une impasse et un président Macron les pieds dans le tapis de la ligne rouge

Le 9 février 2018, des Casques blancs évacuent une victime d'une frappe aérienne dans l'enclave rebelle d'Arbin dans la Ghouta orientale près de la capitale Damas
Le 9 février 2018, des Casques blancs évacuent une victime d'une frappe aérienne dans l'enclave rebelle d'Arbin dans la Ghouta orientale près de la capitale Damas ©AFP - ABDULMONAM EASSA
Le 9 février 2018, des Casques blancs évacuent une victime d'une frappe aérienne dans l'enclave rebelle d'Arbin dans la Ghouta orientale près de la capitale Damas ©AFP - ABDULMONAM EASSA
Le 9 février 2018, des Casques blancs évacuent une victime d'une frappe aérienne dans l'enclave rebelle d'Arbin dans la Ghouta orientale près de la capitale Damas ©AFP - ABDULMONAM EASSA
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Nous sommes en Syrie avec Jean Pierre Filiu et Abdulrahman Almawwas, porte parole des casques blancs, qui nous racontent ce qui se passe dans la Gouhta et à Edlib ; En Russie pour prendre un peu la température d'une population Russe appelée à voter le mois prochain sans beaucoup de motivation..

Avec
  • Jean-Pierre Filiu Professeur des universités en histoire du Moyen-Orient contemporain
  • Abdulrahman Almawwas Porte parole des Casques Blancs

Syrie

Le conseil de sécurité des nations unies doit examiner ce lundi un nouveau texte concernant une trêve de 30 jours, pour permettre notamment aux civils de la Goutha de respirer et d'évacuer des blessés. Un texte qui peut toujours se transformer en résolution. Mais pour quoi faire puisque le vote n'a aucune chance d'aboutir. Sauf revirement de la Russie. Et pendant ce temps, l'offensive Syrienne sur la Goutha a fait 250 morts en quelques jours...  Et ce n'est pas la seule mauvaise nouvelle de Syrie, puisque l'accrochage avec Israël, tend encore un peu plus la situation.  Le point sur une impasse syrienne avec Jean Pierre Filiu, professeur des universités en histoire du Moyen-Orient contemporain à Sciences Po et Abdulrahman Almawwas, porte parole des casques blancs. 

Sous les radars. Florence Paracuellos dans les recoins de l'actualité

- A Ryad, capitale d'une Arabie Saoudite en pleine mutation sous l'œil réprobateur des conservateurs ; 

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- Dans le monde "merveilleux" de Facebook qui serait en fait ringard pour les jeunes de moins de 25 ans ; 

- En Afrique du Sud, où il était une fois une histoire violente et moral, comme le sont les contes pour enfant, de méchants braconniers dans la province du Limpopo, des hommes vils et cupides, avaient l'habitude de tuer de magnifiques bêtes sauvages jusqu'au jour où..

Le reportage 

Nous sommes au centre d’accueil du Samu Social, en banlieue sud de Moscou. Dans la Russie des oligarques, riche de son pétrole et de son gaz,  vivent 20 millions de pauvres, statistiques officielles – en hausse constante - dévoilées récemment en plein campagne électorale… Dans les banlieues des grandes villes , comme dans les campagnes, 15 % des russes essaient de s’en sortir avec moins de 150 euros par mois. A Moscou, depuis 15 ans déjà, le Samu social travaille avec les autorités locales, pour venir en aide à ceux qui n’ont plus rien du tout.  Dans la seule capitale russe, ils sont entre 10 et 15 000. Signé Claude Bruillot, notre correspondant à Moscou. 

Programmation musicale 

  1. Cosmo Pyke - Great dane
  2. Sophie Hunger - Round and round

L'actu en série

Trump saison 2. Gregory Philipps marque son président à la culotte.

L'équipe