Les débuts étourdissants de la musique progressive

Soft Machine en janvier 1967
Soft Machine en janvier 1967 ©Getty - BIPS
Soft Machine en janvier 1967 ©Getty - BIPS
Soft Machine en janvier 1967 ©Getty - BIPS
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En hommage à Greg Lake, on poursuit notre exploration des débuts de la musique dite progressive, c'est à dire futuriste ou cosmique.

"On va essayer de replacer les choses dans leur contexte historique. Cette fin d’année 1969, où paraît le premier album de King Crimson, marque un tournant. Au début du mois de juillet, on a appris la mort de Brian Jones, le guitariste des Rolling Stones, noyé dans sa piscine. Drogué jusqu’aux yeux, il avait été chassé du groupe un mois auparavant. Et c’est King Crimson, le jeune groupe dont tout le monde parle, qui a eu le privilège de jouer en première partie du concert gratuit que les Stones donnent en plein air, à Hyde Park, à Londres, en hommage à leur ami disparu, devant 500 000 personnes. De l’autre côté de l’Atlantique, aux États-Unis, malgré Woodstock, il règne un climat de violence et de haine un an après les assassinats de Martin Luther King et de Robert Kennedy."

  • King Crimson « 21st Century Schizoid Man (Radio Version) » album « In the Court of the Crimson King »
  • The Soft Machine « Hope for Happiness » album « The Soft Machine »
  • Traffic « Freedom Rider » album « John Barleycorn Must Die »
  • Van der Graaf Generator « House with No Door » album « H to He Who Am the Only One »
  • David Bowie « All the Madmen » album « The Man Who Sold the World »
  • Aphrodite’s Child « The Four Horsemen » album « 666 »
  • Renaissance « Island – Single Version » album « Renaissance »
  • Focus « Moving Waves » album « Moving Waves »

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