Vincent Delerm pratique, parallèlement, chanson et photographie depuis plusieurs années. Ses textes naissent d’une image et en font naître d’autres.
Il publie cet automne, simultanément à son sixième album, trois ouvrages nés de sa passion pour la photographie argentique.
Les chansons sont comme des photographies. Elles capturent quelque chose qui était là, sous nos yeux, et qu’on ne voyait pas.
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L’Été sans fin | Voici un travail sur la restitution de l’impression ressentie. En ce sens, il fonctionne exactement comme l’écriture d’une chanson. Le lecteur est plongé en été, dans ses lumières, ses odeurs, ses matières.
Songwriting | Écriture, enregistrement studio, collègues chanteurs, vie de tournée, hôtels, trajets, salles de concert, création… Cet ouvrage témoigne de toutes ces heures, toutes ces villes traversées, que l’auteur n’aurait pas connues s’il n’avait pas été “songwriter”.
C’est un lieu qui existe encore | Ce livre retrace la jeunesse d’un homme de la première moitié du xxe siècle à Paris, à partir d’entretiens réalisés par Vincent Delerm avec son grand-père, peu avant sa disparition. Les souvenirs personnels se mélangent à l’ombre de la Seconde Guerre mondiale. Les images, toutes prises aujourd’hui, illustrent en miroir de ces témoignages la permanence des choses, de tous ces “lieux qui existent encore”
Les trois livres, publiés chez Acte Sud, sont vendus ensemble et paraîtront le 12 octobre