

Le pianiste Lars Vogt au Metropolitan Museum (2007) ©Getty - Hiroyuki Ito/Hulton Archive
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- L'interprétation vigoureuse d'un ballet en trois actes.
- Un concerto en trois mouvements : allegro, adagio, rondo. Selon Baudelaire, « Beethoven a commencé à remuer les mondes de mélancolie et de désespoir incurable amassés comme des nuages dans le ciel intérieur de l'homme ». Il écrit ce concerto n°2 destiné à un petit orchestre à l’âge de quatorze ans.
- Un concerto en trois mouvements : allegro, andante, rondo. Parmi les cinq concertos pour piano et orchestre, le quatrième diffère tant par sa poésie que sa tendresse. Pourtant, Beethoven le compose en plein cœur des années noires de Vienne.
- Une virtuosité libérée dans un cadre féérique et intimiste.