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- Le pianiste Alain Planès interprète Morceau de concours de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 56 sec
- Le pianiste Alain Planès interprète l’Hommage à Haydn de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 2 min
- Le pianiste Alain Planès interprète Le Petit Nègre de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 1 min
- Le pianiste Alain Planès interprète la Valse « La plus que lente » de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 4 min
- Le pianiste Alain Planès interprète le Children’s Corner (Le Coin des enfants) de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 17 min
- Alain Planès interprète le Livre 2 des Etudes pour piano de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 25 min
- Le pianiste Alain Planès interprète le Deuxième livre des Préludes de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 38 min
À propos du concert
Auditorium Radio France
Le
Au début du XXe siècle, la renommée de Debussy est telle que le compositeur reçoit un certain nombre de commandes, parmi lesquelles le Morceau de concours et l'Hommage à Haydn. Non sans humour, il écrit également La plus que lente en 1910_,_ une valse dans l'esprit de celles du Paris de la Belle Epoque.
D'un style plus pétillant et farceur, la musique du Petit Nègre, publiée à la même époque, sera en partie réutilisée dans le Children's Corner, une oeuvre que Debussy dédie à sa fille Claude-Emma, surnommée « Chouchou ». Ce recueil met en scène des personnages tirés du monde de l'enfance comme par exemple l'éléphant Jimbo, une poupée et un petit berger.
Dans Les Etudes, contrairement aux Préludes, le compositeur ne cherche plus à évoquer tel paysage, telle figure, mais s’attache à traduire « un sentiment plus intérieur », comme l'explique le musicologue Harry Halbreich.