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- Le pianiste Alain Planès interprète le Nocturne en ré bémol de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 6 min
- Le pianiste Alain Planès interprète la Valse romantique de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 3 min
- Le pianiste Alain Planès interprète la première série des Images de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 16 min
- Le pianiste Alain Planès interprète la deuxième série des Images de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 13 min
- Le pianiste Alain Planès interprète D’un cahier d’esquisses de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 4 min
- Le pianiste Alain Planès interprète Masques de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 5 min
- Le pianiste Alain Planès interprète L'Isle joyeuse de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 6 min
- Le pianiste Alain Planès interprète le Premier livre des Préludes de Claude Debussy. Enregistré le 10 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).28 mars 2018 • 39 min
À propos du concert
La plupart des premières œuvres pour piano de Claude Debussy comme le Nocturne en ré bémol font entendre des accents slaves. Rappelons qu'au début de sa carrière, le jeune homme avait pour bienfaitrice une riche veuve russe, Nadejda von Meck. Si certaines de ses œuvres comme la Valse romantique peinent à se démarquer, Debussy s'impose en revanche comme un compositeur novateur avec les deux premières séries des Images, écrites entre 1905 et 1908.
Au début du siècle, des pièces brèves comme D'un cahier d'esquisses, Masques et l'Isle joyeuse côtoient ainsi des pièces plus développées comme les Préludes. Ceux-ci se découpent en deux volumes contenant chacun douze morceaux. Comme dans les Estampes et les Images, Debussy cherche à « évoquer » et non à « décrire » au moyen d’harmonies à la fois complexe et poétique.