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- L’édition 2017 du festival de Sablé a choisi d’axer sa programmation sur la fascination de l’Occident pour la musique orientale et notamment la musique ottomane au milieu du XVIIe siècle.1 mars 2018 • 58 min
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- Dans le cadre du festival baroque de Sablé-Sur-Sarthe, les programmateurs ont choisi de mettre en valeur l’orientalisme et les liens tissés au XVIIe siècle entre la musique occidentale et la musique ottomane.1 mars 2018
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- Une oeuvre révolutionnaire dans l'histoire de la musique anglaise et l'une des plus belles oeuvres de Dowland interprété ici par l'Achéron et l'Ensemble Sultan Veled1 mars 2018
À propos du concert
Eglise Notre-Dame, Sablé-sur-Sarthe
Le
L’édition 2017 du festival de Sablé a choisi d’axer sa programmation sur la fascination de l’Occident pour la musique orientale et notamment la musique ottomane au milieu du XVIIe siècle. Dans cette représentation intitulée L’Orgue du sultan, le fil conducteur est l’histoire vraie d’un orgue mécanique de plus de trois mètres de haut envoyé par la reine Élisabeth 1ère au Sultan Mehmet III.
Basé sur la correspondance de son fabricant Thomas Dallam qui s’improvise facteur, ce périple nous mène jusqu’à Istanbul. Il est illustré par un subtil mélange de pièces du répertoire élisabéthain et ottoman dans lequel on retrouve notamment John Dowland et le Sultan Murad IV.
Deux groupes de musiciens sont présents, L’Achéron et l’Ensemble Sultan Veled, l’un représentant la Couronne royale et l’autre l’empire turque. Fondé en 2009 par François Joubert-Caillet, on trouve dans le premier une jeune génération d’instrumentistes avec notamment plusieurs joueurs de viole de gambe et dont l’objectif est de faire dialoguer plusieurs univers comme pour cette création.
L’Ensemble Sultan Veled a quant à lui été fondé en 2005 par Adrien Espinouze pour contribuer à la préservation de la musique soufie ottomane en Europe, son nom reprenant en effet celui d’un des fondateurs de l’ordre mystique des derviches tourneurs. Enfin, la soprano Amel Brahim-Djelloul fait office de trait d’union en chantant en anglais et en turc.
Si les oeuvres sont jouées dans leur propre style, un véritable dialogue finit par s’installer entre deux mondes captivés l’un par l’autre.