L'Orchestre National de France joue Strauss, Webern et Franck - avec Ann Petersen

L'Orchestre National de France joue Strauss, Webern et Franck - avec Ann Petersen
L'Orchestre National de France joue Strauss, Webern et Franck - avec Ann Petersen ©Radio France
L'Orchestre National de France joue Strauss, Webern et Franck - avec Ann Petersen ©Radio France
L'Orchestre National de France joue Strauss, Webern et Franck - avec Ann Petersen ©Radio France
Extraits du concert

À propos du concert

Auditorium, Maison de la Radio, Paris

Le

César Franck n’a écrit qu’une seule symphonie, créée en 1889 un an avant sa mort. Cela ne l’a pas empêché de passer à la postérité, au contraire. Son recourt au « principe de composition cyclique », déjà largement exploité dans d’autres de ses œuvres, a contribué à sa renommée. 

Autre oeuvre des dernières années, les Vier letzte Lieder (Quatre derniers lieder) de Richard Strauss offrent un ultime hommage au chant et à la voix féminine, voix qui a occupé une place de premier rang dans sa vie. Rappelons que le compositeur a partagé de très longues années avec la soprano Pauline de Ahna et écrit certains des plus grands rôles de femme du répertoire lyrique, à commencer par les spectaculaires Salomé et Elektra. 

La Passacaille en ré mineur d' Anton Webern est elle une oeuvre des débuts, la première que son auteur accepte de faire figurer à son répertoire. Elle est écrite et créée en 1908, une période à laquelle le jeune compositeur achève ses études auprès d' Arnold Schönberg. Ici déjà, l'oeuvre se caractérise par sa concision et par son traitement particulier du silence, comme nombre des compositions qui suivront. 

Allegretto
1h 55