

Scarlatti : Sonate pour clavecin en Si bémol Majeur K 190 L 250 (Allegro), par Jean Rondeau
Les basses et les aigus s'opposent dans cette sonate complexe, tant dans leur rythme que dans leur mélodie.
En analysant les sonates pour clavecin de Scarlatti, le musicologue Ralph Kirkpatrick constate que non seulement les œuvres sont binaires (constituées de deux parties), mais aussi que chacune des deux séquences est divisée le plus souvent en deux volets, le passage d’un volet à l’autre étant marqué par ce qu’il a appelé le crux. Dans cette sonate, cette marque est particulièrement claire, annoncée par un crescendo puis par un silence net, captivant ainsi l’attention de l’auditeur.
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