Emilie Delorme officiellement nommée à la tête du CNSMD de Paris
Par Guillaume Decalf, Sofia Anastasio%22%20xlink%3Ahref%3D%22data%3Aimage%2Fjpeg%3Bcharset%3Dutf-8%3Bbase64%2C%2F9j%2F2wBDACgcHiMeGSgjISMtKygwPGRBPDc3PHtYXUlkkYCZlo%2BAjIqgtObDoKrarYqMyP%2FL2u71%2F%2F%2F%2Fm8H%2F%2F%2F%2F6%2F%2Bb9%2F%2Fj%2F2wBDASstLTw1PHZBQXb4pYyl%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj%2FwAARCAAXACoDASIAAhEBAxEB%2F8QAGQAAAwEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAMEAQIF%2F8QAIhAAAgICAQMFAAAAAAAAAAAAAQIAEQMhEjFBUQQTFEJS%2F8QAFQEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH%2FxAAUEQEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA%2F9oADAMBAAIRAxEAPwCnA4xDlevEc3rF%2BosyJAnLZsRmIqCenXvCmNnyOaurjVxhRfeRZHK5xR1cpOQaGzCHjOFdcZBJMdcjyZPbIYTfmL4gecoGrJjaHkwhAxkDEEsdQOPlRLtqEIUx35CjsTi1%2FMIQP%2F%2FZ%22%20%2F%3E%3C%2Fsvg%3E)
Emilie Delorme a été officiellement nommée directrice du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, par arrêté du ministre de la culture en date du 11 décembre 2019.
La nomination d’Emilie Delorme à la tête du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris est désormais officielle. Par arrêté du ministre de la Culture, en date du 11 décembre 2019, Emilie Delorme a été désignée directrice de l’institution, à compter du 1er janvier 2020.
Cela faisait près de dix mois que le CNSMD cherchait un successeur à Bruno Mantovani, rappelle La Lettre du Musicien qui, dans un article publié le 26 novembre 2019, révélait déjà le nom d'Emilie Delorme pour la future direction de l'établissement.
Agée de 44 ans, Emilie Delorme est directrice de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence depuis 2008. Sous sa direction, l'Académie accueille depuis 2014 l'Orchestre des jeunes de la Méditerranée, une centaine de jeunes musiciens nés dans le bassin méditerranéen qui bénéficient de l'encadrement pédagogique de l’académie.
Emilie Delorme devient ainsi la première femme à occuper cette fonction au CNMDP, « après une succession de nominations masculines ( Opéra de Paris, Opéra de Lyon, Centre national de la musique...) » comme le souligne Antoine Pecqueur dans la Lettre du Musicien.