La playlist des Victoires de la musique classique 2018

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La playlist des Victoires de la musique classique 2018

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Les Victoires de la musique classique 2018.
Les Victoires de la musique classique 2018.

Quelles grandes œuvres du répertoire classique avez-vous pu entendre pendant la 25e cérémonie des Victoires de la musique classique ?

Vous avez flashé sur ce beau morceau joué au piano ou sur l’un des grands airs d’opéra chantés pendant la cérémonie, mais vous ne vous rappelez ni de son nom ni de son interprète ?

Pas de panique, retrouvez ci-dessous toute la programmation musicale de la cérémonie des Victoires de la musique classique 2018.

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Entre 21h et 22h

21h. C'est une tradition, comme tous les ans, la cérémonie des Victoires de la musique classique s’ouvre avec le fameux Boléro de Maurice Ravel.

La pianiste russe Anna Vinnitskaya est la première artiste à monter sur scène. Elle interprète le 1er mouvement Moderato du Concerto pour piano N°2 en do mineur op. 18 de Sergueï Rachmaninov.

C’est ensuite au tour du violoncelliste Gautier Capuçon d’interpréter Le Cygne de Camille Saint-Saëns, une pièce pour violoncelle extraite du célèbre Carnaval des Animaux.

Le jeune contre-ténor polonais Jakub Jósef Orliński fait ensuite son apparition sur la scène de la Grange au Lac. Il chante « Vedro con mio diletto », un air composé en 1724 par Antonio Vivaldi pour l’opéra Il Giustino.

Retour au répertoire pour piano avec le 3ème mouvement (Rondo) du Concerto pour piano N°5 “L'empereur” de Ludwig Van Beethoven,. Il est interprété par Sélim Mazari.

La soprano Angela Gheorghiu chante ensuite l'un des plus grands airs du répertoire italien : « Un bel di vedremo », extrait de l'opéra Madame Butterfly composé par Giacomo Puccini.

Puis c’est un petit tour en Europe de l’Est que nous propose le violoncelliste Bruno Philippe, nommé “Révélation soliste instrumental 2018”. Il joue le 1er mouvement (Allegro) du Concerto pour violoncelle no 2 en si mineur d' Antonín Dvořák.

A 21h30, un trio s’installe sur la scène de la Grange au Lac : Nicolas Ramez, corniste, Lucile Podor, violoniste, et Guillaume Sigier, pianiste. Ils interprètent le final Allegro con brio du Trio pour piano, violon et cor en mi bémol Majeur op 40 de Johannes Brahms.

Le trio laisse ensuite la place à la soprano Sabine Devieilhe - Artiste lyrique 2018 - qui choisit pour cette soirée l’air « Sous le soleil béni », tiré de l’opéra Madame Chrysanthème d’ André Messager.

L'invité du jour
48 min

Entre 22h et 23h

Frédéric Lodéon et Leila Kaddour-Boudadi annoncent la soprano Chloé Briot. Elle chante le premier air du page Chérubin dans Les Noces de Figaro de Wolfgang Amadeus Mozart : « Non so più, cosa son, cosa faccio ».

Après cette interlude mozartien, Victor Julien-Laferrière interprète les Variations sur un thème rococo n°6 et 7 de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Le violoncelliste a été nommé "Soliste instrumental 2018".

Nommée “Révélation artiste lyrique 2018”, la mezzo-soprano Eva Zaïcik chante la célèbre plainte d’Orphée dans Orphée et Eurydice de Christoph Willibald Gluck : « J’ai perdu mon Eurydice ».

Puis le pianiste Nelson Goerner suspend le temps dans l'auditorium de la Grange au Lac en interprétant le Clair de lune de Claude Debussy, compositeur dont nous célébrons le centenaire de la disparition en 2018.

Un peu de swing à 22h45 : la soprano canadienne Barbara Hannigan interprète le standard jazzy « I got rythm », composé par George Gershwin et arrangé par Bill Elliot.

A l’approche des 23h, la musique contemporaine s'ajoute à la programmation des Victoires 2018 : Paul Meyer, clarinettiste, a choisi le Concerto pour clarinette et orchestre de Thierry Escaich.

Les grands entretiens
27 min

Entre 23h et minuit

Dernières notes de piano sur la scène de la Grange au Lac : Lucas Debargue joue le final du Concerto pour piano et orchestre n°5 en fa majeur de Camille Saint-Saëns.

Et la grande cérémonie des Victoires de la musique classique 2018 touche à sa fin… Le chef d’orchestre italien Daniele Rustoni dirige la célébrissime Ouverture de l’opéra Guillaume Tell de Gioacchino Rossini.

Et pour ceux qui restent derrière leur écran jusqu’à la toute dernière minute : c’est la Marche de Radetzky de Johann Strauss qu’ils peuvent entendre pendant le générique de fin !