Le programme musical de Denisa Kerschova : Le choix des auditeurs

Quelle musique voyez-vous sur le tableau : "La ronde des petites bretonnes" de Paul Gauguin (1888) ?
Quelle musique voyez-vous sur le tableau : "La ronde des petites bretonnes" de Paul Gauguin (1888) ? - Washington, National Gallery of Art, collection de Mr et Mme Paul Mellon
Quelle musique voyez-vous sur le tableau : "La ronde des petites bretonnes" de Paul Gauguin (1888) ? - Washington, National Gallery of Art, collection de Mr et Mme Paul Mellon
Quelle musique voyez-vous sur le tableau : "La ronde des petites bretonnes" de Paul Gauguin (1888) ? - Washington, National Gallery of Art, collection de Mr et Mme Paul Mellon
Publicité

Ce tableau est actuellement visible au Grand Palais dans le cadre de l'exposition "Gauguin l’alchimiste" du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018 à Paris.

On vous offre des places

Gagnez des places pour assister à la représentation du Comte Ory de Gioachino Rossini le 25 décembre à 15h à l'Opéra-Comique à Paris.

Publicité

Opéra en deux actes. Livret d’Eugène Scribe. Créé à l’Opéra de Paris en 1828.
Au temps des croisades, les châtelains partaient pour la Terre sainte en laissant les femmes sans défense. C’est ainsi que la sœur du seigneur de Formoutiers languit en son château, convoitée par un comte dépravé et un page amoureux. Chacun entreprend d’approcher la belle recluse, Ory en se travestissant, Isolier en dévoilant son âme : lequel des deux mènera le jeu ?

En 1828, Rossini était une vedette européenne, plébiscitée par le public comme par les étoiles du chant. Cette intrigue bouffe lui permit de sauver de l'oubli, par un recyclage virtuose, sa partition de circonstance du Voyage à Reims. Berlioz et Liszt ont dit leur admiration pour Le Comte Ory : une telle combinaison de poésie troubadour, de variété musicale et d’ironie truculente bousculait les conventions et les genres établis pour magnifier le génie comique français.

Le Comte Ory n’a que rarement été programmé à la Salle Favart. Il l’investit en force pour la période des fêtes de fin d’année, avec les auteurs de la brillante résurrection du Fortunio de Messager en 2009 : Louis Langrée et Denis Podalydès.

Distribution :

  • Direction musicale, Louis Langrée
  • Mise en scène, Denis Podalydès
  • Décors, Éric Ruf
  • Costumes, Christian Lacroix
  • Lumières, Stéphanie Daniel
  • Collaboration aux mouvements, Cécile Bon
  • Avec Philippe Talbot, Julie Fuchs, Gaëlle Arquez, Jean-Sébastien Bou, Patrick Bolleire, Éve-Maud Hubeaux, Jodie Devos, Laurent Podalydès, Léo Reynaud
  • Chœur les éléments
  • Orchestre des Champs-Elysées

Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.

Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.

Rubrique Maestro : Fred Astaire donne le la

Le dimanche 24 décembre à 19h sur Arte : Fred Astaire donne le la.

Musicien doué, Fred Astaire nourrissait ses étourdissantes chorégraphies des partitions des plus grands compositeurs. Retour sur son fertile compagnonnage avec Irving Berlin, Jerome Kern et George Gershwin.

On le sait moins mais Fred Astaire, en plus d'être un génial danseur et un as des claquettes, jouait parfaitement du piano et de la batterie. Pour élaborer les chorégraphies au cordeau de ses comédies musicales, il travaillait en amont sur les partitions. "Je voulais être fidèle aux compositeurs", souligne-t-il dans une interview. Ce documentaire revient sur ses collaborations uniques avec trois grands artistes : Irving Berlin, Jerome Kern et George Gershwin. À eux quatre, ils donnèrent un sacré coup de lustre à la comédie musicale. Le récit joint le geste à la parole avec de nombreux extraits de films montrant le fruit de ces amitiés artistiques : le gracieux tourbillon de plumes de "Cheek to Cheek", les duos facétieux avec Ginger Rogers et cette séquence étonnante, où, dans une épure qui confine à l'abstraction, Fred Astaire exécute des claquettes dignes d'un percussionniste, en rythme avec la machinerie d'un bateau. L'acteur chante aussi, avec son élégance habituelle, des ballades mythiques comme "The Way You Look Tonight" ou "They Can't Take That Away from Me", le testament amoureux de George Gershwin.