Portraits des personnalités qui ont marqué ce pupitre clé, occasion de réécouter ce hautbois grave si pénétrant qui est aussi le plus expressif et mélancolique de la famille des bois.
Place à la sphère germanique avec les solos magiques de Tristan et Isolde de Wagner, des Rückert Lieder de Mahler ou du Cygne de Tuonlea de Sibelius, magnifiés par les héros des Philharmoniques de Vienne et Berlin, Günter Lorenz et l’extraterrestre Gerhard Stempnik.
Alexandre Borodine
Dans les Steppes de l’Asie centrale
Orchestre Philharmonique de New York
Direction Dimitri Mitropoulos
Cor anglais solo : Michel Nazzi
Sony Classical. Enr. 1952
Richard Wagner
Tristan et Isolde, prélude de l’acte III
Orchestre Philharmonique de Vienne
Direction Georg Solti
Cor anglais solo : Günter Lorenz
Decca. Enr. 1960
Richard Wagner
Tristan et Isolde, début de l’acte III : « die alte Weise »
Orchestre Philharmonique de Vienne
Direction Georg Solti
Cor anglais solo : Günter Lorenz
Decca. Enr. 1960
Gustav Mahler
Rückert Lieder, « Ich bin der Welt abhanden gekommen »
Christa Ludwig (mezzo)
Orchestre Philharmonique de Berlin
Direction Herbert von Karajan
Cor anglais solo : Gerhard Stempnik
DG. Enr. 1975
Jean Sibelius
Le Cygne de Tuonela
Orchestre Philharmonique de Berlin
Direction Herbert von Karajan
Cor anglais solo : Gerhard Stempnik
DG. Enr. 1965
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