Histoires de Musique - Page 4

Peintre expressionniste, Oskar Kokoschka, « enfant terrible » et surdoué de la scène artistique viennoise, rencontre Alma, veuve de Gustav Mahler, le 12 avril 1912. Un amour fou fait alors irruption dans la vie de l’artiste. Histoires de Musique nous conte cette passion déchirante.

Arrivés d'Europe pour la terre promise, avant de mettre pied à Manhattan, il fallait d'abord passer par Ellis Island, l'île des larmes. Passage obligé pour des millions d'immigrants entre 1892 et 1954.

Le livret d'opéra de Puccini provient du roman "Les Mémoires d’un homme de qualité" de l’Abbé Prévost qui est jugé scandaleux lors de sa publication en 1734. Destiné au plaisir d’une lecture agréable, l’auteur ne donne pas l’exemple d’une conduite vertueuse pour gagner le bonheur…

La Maison de Saint-Cyr, érigée par l'architecte Mansart et dirigée par Madame de Maintenon est réservée aux fillettes de la vieille noblesse désargentée. Louis XIV veut donner à l'état des femmes bien élevées. C'est par le théâtre et la musique que Madame de Maintenon compte éduquer ces demoiselles.

La légende de Jean-Michel Basquiat est toujours bien vivante. Synonyme d’une scène underground en pleine expansion du New York des années 1980, l’artiste est doué d’une puissance et d’une voix toute personnelle, et rompt avec le milieu établi.

Pour lui, elle représente typiquement une époque dans laquelle ce qui importe n’est pas la beauté extérieure d’une femme, mais bien plus son raffinement spirituel. Et Sylvia von Harden représente l’idéalisme de leur génération !

Rien ne freine Casanova, l’infatigable globe-trotter dont les moyens d’existence ne sont pas toujours avouables, use cyniquement de ses charmes auprès des dames vieillissantes. Mais sa séduction personnelle, ses talents d’hommes à projets, d’homme d’esprit et de causeur emportent sur tout.

Tapisserie mystérieuse : "A mon seul désir". Métaphore de l’aventure, allégorie d’une quête spirituelle ou de l’amour courtois ? Ou un simple secret poétique dévoilé par le poète Charles Baudelaire : «Oui, c’est là qu’il faut aller respirer, rêver et allonger les heures par l’infini des sensations»

« Jamais cour n’a eu tant de belles personnes et d’hommes admirablement bien faits » écrit Madame de Lafayette dans son roman historique La Princesse de Clèves. A la cour de France, règnent les plaisirs et les fêtes ! Tel un univers suspendu au-dessus des contingences, tourné exclusivement vers soi.

En 1940, Les Raisins de la Colère marque une étape charnière de la filmographie de John Ford. Voici le temps des road movies. A l’origine, le roman de John Steinbeck paru en avril 1939. Dès sa parution, il est considéré comme un brûlot politique et écologique et fait scandale.

De 1947 à 1964, Simone de Beauvoir écrit à Nelson Algren des centaines de lettres d’amour. Au sortir de la guerre, cet « amour transatlantique » l’entraîne dans une aventure aussi risquée que les vols Paris-New-York de ce temps-là.

C’est après la lecture du roman picaresque du XIXè siècle, écrit par William Makepeace Thackeray, Mémoire de Barry Lyndon, que Stanley Kubrik décide d’en réaliser le film.