

En 1996, Andrea Gruber (Chrysothémis) et Marilyn Zschau (Elektra) dans l'opéra de Strauss : Elektra - Gary Smith
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Résumé
Elektra ou “la cruauté mise en musique” : ce ne sont pas les mots d'Aliette de Laleu mais ceux de Daniel Barenboim pour qualifier l’opéra de Richard Strauss. Cruauté des femmes aussi avec trois figures féminines que l'on a longtemps considéré comme des "monstres"... à tort ?
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