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- Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.31 août 2013 • 1h 47
- « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, un trouble s'éleva dans mon âme éperdue… » Si la folle passion de Phèdre pour son gendre Hippolyte traverse l'Antiquité de l'Hippolyte d'Euripide à la Phèdre de Sénèque, Jean Racine lui donne son expression la plus poignante dans sa pièce créée le 1er janvier 1677. Restant plus ou moins fidèle au modèle racinien, plusieurs compositeurs ont tenté de restituer les fulgurances de ce drame universel, comme Jean-Philippe Rameau dans Hippoyte et Aricie, Simon Mayr dans Fedra ou Benjamin Britten dans Phaedra. « C'est Vénus toute entière à sa proie attachée »10 août 2013 • 1h 47
- « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, un trouble s'éleva dans mon âme éperdue » Si la folle passion de Phèdre pour son gendre Hippolyte traverse l'Antiquité de l'Hippolyte d'Euripide à la Phèdre de Sénèque, Jean Racine lui donne son expression la plus poignante dans sa pièce créée le 1er janvier 1677. Restant plus ou moins fidèle au modèle racinien, plusieurs compositeurs ont tenté de restituer les fulgurances de ce drame universel, comme Jean-Philippe Rameau dans Hippoyte et Aricie, Simon Mayr dans Fedra ou Benjamin Britten dans Phaedra. « C'est Vénus toute entière à sa proie attachée »3 août 2013 • 1h 47
- « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, un trouble s'éleva dans mon âme éperdue » Si la folle passion de Phèdre pour son gendre Hippolyte traverse l'Antiquité de l'Hippolyte d'Euripide à la Phèdre de Sénèque, Jean Racine lui donne son expression la plus poignante dans sa pièce créée le 1er janvier 1677. Restant plus ou moins fidèle au modèle racinien, plusieurs compositeurs ont tenté de restituer les fulgurances de ce drame universel, comme Jean-Philippe Rameau dans Hippoyte et Aricie, Simon Mayr dans Fedra ou Benjamin Britten dans Phaedra. « C'est Vénus toute entière à sa proie attachée ».27 juill. 2013 • 1h 47
À propos du podcast

Archives sur France Musique
Dimanche, à l'aube. éveil aux sons d'un jardin. Le jardin des Dieux, des déesses, des héros, des prophètes, des esprits, des fantômes qui, à travers les frondaisons, chantent leur destin. Grecques, juives, nordiques, romaines, celtiques, bouddhiques, ces divinités qui, de tout temps, ont enflammé l'imagination des musiciens, nous éveillent. Ce jardin imaginaire invite ainsi à revivre les multiples formes de la création du monde, les métamorphoses, la Résurrection, les combats des dieux, les révoltes des hommes. Mythologies et musique accordent leurs instruments et emportent de l'émerveillement à la terreur, du rire au recueillement. Commence alors une journée nouvelle…
Attachée de production : Dorothée Goll
Réalisation : en alternance, Béatrice Trichet et Pierre Pauthier
L'équipe
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