Karol Beffa (4/5) : "On n'a jamais fini de faire le tour de l'orchestre, on reste toujours un étudiant"

Karol Beffa (4/5) : "On n'a jamais fini de faire le tour de l'orchestre, on reste toujours un étudiant"

Jeudi 26 novembre 2020

Le pianiste et compositeur Karol Beffa - Astrid di Crollalanza

Le pianiste et compositeur Karol Beffa se souvient de la résidence qu'il a effectuée à l'Orchestre national du Capitole de Toulouse en 2006. Il revient aussi sur son métier de musicologue, et de professeur de musicologie à l'ENS. Il évoque enfin les compositeurs qu'il admire le plus : Bach et Ravel.

Avec

"Il y a quelque chose de magique dans la capacité qu'offre l'orchestre d'assouvir vos rêves les plus fous !"
Karol Beffa

Karol Beffa, Paradis Artificiels « I. ».
Orchestre du Capitole de Toulouse, Tugan Sokhiev (direction)
Copie privée

Henri Dutilleux, Symphonie n° 1 - II. Scherzo
Orchestre de Paris, Paavo Järvi (direction)
Erato

Maurice Ravel, Daphnis et Chloé - Danse suppliante de Chloé
Les Siècles, François-Xavier Roth (direction)
Harmonia Mundi

Guillaume Connesson, Lucifer - VI. L’Ailleurs
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Jean-Christophe Spinosi (direction)
Deutsche Grammophon

Karol Beffa, Nuit Obscure - IV. Oh llama de amor viva
Karine Deshayes (mezzo-soprano), Ensemble Contarste, Johan Farjot (direction)
Aparte

Jérôme Ducros, Trio avec piano - II. Adagio
Sergey Malov (violon), Jérôme Pernoo (violoncelle), Jérôme Ducros (piano)
Decca

Le portrait contemporain

59 min

L'équipe