Philippe Boesmans (4/5), "Il y a une grande solitude au moment de l’invention. Nécessaire mais douloureuse !"

Le compositeur belge Philippe Boesmans, avril 2016
Le compositeur belge Philippe Boesmans, avril 2016 ©Getty - Bernd Weissbrod/picture alliance via Getty Images
Le compositeur belge Philippe Boesmans, avril 2016 ©Getty - Bernd Weissbrod/picture alliance via Getty Images
Le compositeur belge Philippe Boesmans, avril 2016 ©Getty - Bernd Weissbrod/picture alliance via Getty Images
Publicité

Le compositeur belge Philippe Boesmans, créateur de plusieurs opéras pour le Théâtre de la Monnaies à Bruxelles, nous a quittés à l’âge de 85 ans. Il s’était confié au micro d’Arnaud Merlin en mai 2018. Pour lui rendre hommage, nous vous proposons de réécouter cette série de Grands Entretiens.

Avec

Dans ce quatrième volet, le compositeur se confie sur ses différents opéras, qu'il voit comme ses enfants. Selon lui, écrire un opéra, c'est se mettre en dehors du temps pour faire abstraction de ce qui nous entoure. Laisser la musique accentuer ce que l'on ne dit pas, ce que l'on suppose...

L’opéra, c’est le monde tel qu’il pourrait être, tel que je le vois. Les personnages font toujours des choses inattendues, et même s'ils ne le font pas, c’est la musique qui nous surprendra. Il faut créer une tension pour que l’on comprenne mieux les choses.

Publicité

La programmation musicale est à retrouver ici !

Au fil de l'actu
9 min

L'équipe