Entretien avec le cinéaste Otar Iosseliani : Une archive de 2002

Le réalisateur Otar Iosseliani récompensé au Festival du film de Locarno (Suisse) en 2013
Le réalisateur Otar Iosseliani récompensé au Festival du film de Locarno (Suisse) en 2013 ©Getty - Pier Marco Tacca/WireImage
Le réalisateur Otar Iosseliani récompensé au Festival du film de Locarno (Suisse) en 2013 ©Getty - Pier Marco Tacca/WireImage
Le réalisateur Otar Iosseliani récompensé au Festival du film de Locarno (Suisse) en 2013 ©Getty - Pier Marco Tacca/WireImage
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Voyage musical et poétique dans l’univers du cinéaste Otar Iosseliani, surnommé "le Tati géorgien", que recevait Marc-David Calvet dans son émission "Chants des toiles".

Quand on film devient tout à fait incompréhensible pour le spectateur sans traduction, on n’entre pas avec un phénomène cinématographique. Par contre, quand tout est compréhensible sans que l’on comprenne la langue, je pense que ça, c’est du cinéma !

En mars 2002, à l‘occasion de la sortie de son film Lundi matin, Otar Iosseliani était l’invité de Marc-David Calvet dans son émission dominicale Chants des toiles.

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Dans la culture populaire de mon pays, on chante minimum à trois voix, chaque voix suit son dessein

Le cinéaste nous parle de la construction musicale de ses films, de son goût pour les chants polyphoniques populaires, et comment il travaille avec les compositeurs, comme avec Nicolas Zourabichvili à qui il confie fidèlement la musique de ses films depuis 1984…

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