Jérôme Garcin, journaliste et écrivain

Jérôme Garcin et Elsa Boublil
Jérôme Garcin et Elsa Boublil - France Musique
Jérôme Garcin et Elsa Boublil - France Musique
Jérôme Garcin et Elsa Boublil - France Musique
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Une émission en partenariat avec le magazine Grazia.

Magazine Grazia
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La vie est courte.

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♫ Programmation musicale

♫ Aimé Césaire
Cahier d’un retour au pays natal
Aimé Césaire, voix

♫ Giuseppe Verdi
La Traviata : Strano (air de Violetta, acte I)
Anna Netrebko, soprano
Orchestre Philharmonique de Vienne
Direction : Carlo Rizzo

♫ Antonio Vivaldi
Gloria (extraits)
Le Concert Spirituel
Direction : Hervé Niquet

♫ Christoph Willibald von Glück
Orphée et Eurydice : J’ai perdu mon Eurydice (acte III, scène 1)
Richard Croft, Orphée
Les Musiciens du Louvre
Direction : Marc Minkowski

♫ Erik Satie
Trois morceaux en forme de poire
Aldo Ciccolini, piano

♫ Wolfgang Amadeus Mozart
Requiem (extraits)
Consentus Musicus de Vienne
Direction : Nikolaus Harnoncourt

♫ Franz Schubert
Erlkönig D. 328
Matthias Goerne, baryton
Andreas Haeflliger, piano

♫ Georg Friedrich Haendel
Xerxes : Ombra mai fu
Philippe Jarrousky, baryton
Barocchisti
Direction : Diego Fasolis

♫ Félix Mendelssohn
Romances sans paroles en ré Majeur op.67 n°4 : la fileuse
Daniel Barenboïm, piano

♫ Jean-Sébastien Bach
Sonate en ré mineur BWV.964
Jean Rondeau, piano

♫ Claude Debussy
Suite bergamasque : Clair de lune
Samson François, piano

♫ Franz Liszt
Mazeppa
Orchestre Philharmonique de Berlin
Direction : Zubin Mehta

♫ Johann Pachelbel
Canon et gigue en ré Majeur pour orchestre
Academy of Ancient Music
Direction : Christopher Hogwood

♫ Barbara
Une petite cantate
Gérard Depardieu, chant.

L'actualité de notre invité

Le Syndrome Garcin
Jérôme Garcin / Edition Gallimard

Le Syndrome Garcin
Le Syndrome Garcin
- Gallimard

«Je suis un radiologue fantaisiste, un échographe controuvé, un voyageur sans bagage qui toque à la porte des hôpitaux d’autrefois et des bureaux poussiéreux, au fond desquels mes aïeux sourcilleux s’étonnent que je veuille mieux les connaître et me parlent dans un français de laborantin, un sabir organique, un babélisme médicamenteux que je ne saisis pas toujours. Mais si je ne témoigne pas de cette tribu clinique, dont seuls d’obscurs traités et des manuels déshumanisés gardent la trace, qui d’autre le fera?»

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